Einstein (1)
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
Zoophilie,
La solitude et l’abandon ! Une énième dispute venait encore d’assombrir le climat plus que malsain du foyer. Entre Maryse la jolie brune et son compagnon Alix, les choses n’étaient pas en passe de s’améliorer. Cette fois, pour la jeune femme de vingt-huit ans la coupe était pleine. Elle payait tout dans cette baraque. Lui se levait à onze heures du matin, ne faisait pas l’effort de se bouger pour chercher un travail. Alors entre le loyer, les courses et toutes les charges de cette maison de location, ça devenait tellement lourd pour elle. Depuis un mois, au lieu d’aller chercher un travail, non ! Monsieur n’avait rien trouvé de mieux que de faire venir ses potes à la maison et les regards vicieux des cocos qui jouaient à longueur de journée au tarot dans la salle à manger dérangeaient Maryse. La goutte qui avait fait déborder le vase pour de bon avait un an et courait partout dans la maison. La brune était rentrée un soir après le bureau et elle avait été mise devant le fait accompli. Une boule de poil soi-disant de pure race était là devant elle. Cette fois elle s’était fâchée pour de bon. Alix avait dû quelques jours vider les cendriers, nettoyer la salle à manger et surtout, il avait été prié de ne plus ramener ses copains à la maison. Oh ! Comme d’habitude, il lui avait juré les grands Dieux, qu’il irait chercher du boulot, qu’il serait un compagnon aimant et gentil. Le grand jeu en quelque sorte. Pendant trois jours, il s’était tenu peinard, quittant le nid le matin ...
... pour revenir le soir. Le chiot, un mâle berger allemand de treize mois lui était resté à demeure et Maryse avait rajouté sur la liste des courses des croquettes et des sachets pour ramasser dans la pelouse ou la rue, les cadeaux de la bestiole. Alix n’avait rien trouvé de mieux d’appeler son cabot... Einstein ! Il était gentil avec la jeune femme, mais elle savait déjà que ce serait à elle qu’incomberaient les corvées de l’entretien de la bête. Donc depuis un bon mois une cohabitation avec l’animal s’était instaurée. Mais dans l’après-midi de la veille, ne se sentant pas très bien, elle avait demandé à son patron de rentrer chez elle. Arrivée vers quinze heures, elle avait trouvé dans son lit une poupée Barbie, aussi blonde que sa copie et surtout à peine majeure. La colère qu’elle avait piquée avait été monumentale. Alix jurait par tous les saints qu’elle ne comptait pas, qu’elle n’était rien pour lui, juste une passade. Mais cette fois c’en était trop pour la jeune femme qui comprenait enfin que l’aventure devait s’arrêter là. Oh bien sûr que ce serait pénible, difficile, que sans doute il lui manquerait. C’était vrai aussi que côté sexe, le bougre était du genre doué. Personne avant lui ne l’avait faire jouir comme ça. Mais bon, l’entretenir tout le temps, le voir se comporter comme un gamin et puis ramener des pouffiasses à la maison, c’en était trop. — oooOOooo — Alix s’était vu signifier son congé. Elle l’avait vu s’éloigner avec comme un pincement au cœur, mais c’était ...