1. Einstein (1)


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... nécessaire. Il avait bien essayé de la prendre dans ses bras, de l’embrasser, mais elle était tellement en rogne qu’il avait dû prendre ses cliques et ses claques. Il s’était retrouvé dans la rue une heure après, mais la salope avec qui il baisait au retour de Maryse, elle, n’avait pas jugé bon de l’attendre. Alors sans appartement et sans autre argent que les quelques euros que sa compagne venait de lui lancer à la figure, il était parti la tête basse et la queue entre les jambes. Pour Einstein, au départ, elle voulait qu’il l’embarque avec lui. Mais en y réfléchissant mieux, la pauvre bête n’avait rien à voir là-dedans et elle décida qu’elle le lui garderait, jusqu’à ce qu’il ait trouvé un appartement ou de quoi se loger. Elle avait rapidement réglé ce problème et puisque Alix n’avait pas de boulot, mais en aurait un jour ? Elle garderait donc le chien en espérant qu’un jour il vienne le récupérer, tout comme ses affaires, vêtements et les quelques babioles qui lui appartenaient. Voilà comment depuis la veille, la jeune femme se retrouvait seule... enfin pas tout à fait puisque le compagnon à quatre pattes était bien présent, lui. Elle fit changer les serrures de suite, le premier jour, pour éviter un retour d’Alix qui avait très bien pu refaire faire des clefs. Ainsi elle s’assurait d’une relative tranquillité. Le départ de son copain datait déjà de plus d’un mois et il n’avait même pas cherché à la recontacter. Une belle preuve d’amour ! Mais Einstein lui, se montrait ...
    ... joyeux, heureux de la revoir chaque soir et ensemble, ils allaient faire un tour tous les deux. Elle imaginait bien qu’après une journée passée dans la solitude de la maison, il était heureux de se dégourdir les muscles. Il était affectueux et se montrait doux, gentil, presque câlin avec elle. Le soir quand elle allait se coucher, il s’étendait derrière sa porte, veilleur patient et calme. Il avait pourtant un matin à son réveil marqué un temps d’arrêt devant elle et sa façon de se frotter contre sa cuisse avait surpris la jeune femme. D’ordinaire, il était plutôt calme et pourtant ce matin-là... il venait la sentir, la humer d’une bien étrange manière. Ce n’est que lors de sa douche qu’elle s’aperçut qu’elle avait ses règles. Était-il possible que ce saignement ait à ce point perturbé l’animal ? Elle se demandait s’il avait su avant elle que ça allait débarquer ! Bon, la nature avait des droits et aucune femme au monde ne saurait y déroger. Maryse et Einstein traversèrent ainsi la belle saison et quand l’automne arriva, Alix n’avait plus donné de nouvelles. Le chien était toujours là, mais elle ne s’en plaignait pas. Ce compagnon l’obligeait sans un mot à marcher, se balader, sortir et elle trouvait ça plutôt bien. Par contre pour les sorties seules, c’était plutôt compliqué. Elle avait donc pris l’habitude de rester à la maison avec Einstein, et devenait plutôt casanière. Il avait bien grandi, forci également, mais restait cet agréable ami qui l’attendait chaque soir, après le ...