1. Einstein (1)


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... travail derrière la porte. Il était toujours installé pareillement. Assis, la tête levée en guise de salut, il remuait la queue et venait lui lécher les mains, à chaque retour. Heureux de la revoir, il savait le lui faire comprendre. Plus le temps passait et plus Maryse s’attachait à son chien. De plus, aucun signe de vie de son propriétaire et elle savait qu’elle ne le reverrait sans doute jamais. — oooOOooo — Le printemps revenu, la jeune femme achetait la maison et dans la foulée, le jardin fut clôturé. Einstein pouvait ainsi passer le plus clair de ses journées à gambader sur l’espace herbeux de la pelouse. Le soir, la porte-fenêtre ouverte il allait et venait à sa guise. Dans la maison, les beaux jours retrouvés, la brune se promenait à demi nue, sans crainte de voir qui que ce soit la mater. À la moindre alerte, son copain aboyait et la prévenait. Elle avait aussi pris l’habitude de se coucher sur son canapé, sans se préoccuper de ce que faisait l’animal. Alors un soir, la belle s’endormit sur son sofa. Elle se mit à rêver, et les images qui surgissaient dans sa tête n’étaient en rien sages. Il faudrait bien un jour qu’elle fasse à nouveau l’amour. Mais pour l’heure dans son sommeil, le grand et fort gaillard qui la caressait était d’une incroyable délicatesse. Ses longs doigts allaient et venaient et la tension de son corps se transformait peu à peu en plaisir. Elle sentait entre ses cuisses la langue de cet homme qui lui léchait la chatte. Depuis si longtemps que ce ...
    ... n’était pas arrivé... un vrai délice. Les bras ballant le long de son corps la jeune femme en léthargie sur son divan, avait des soubresauts distillés par son envie tellement ciblée. Chaque coup de langue de ce type sans visage lui rappelait combien elle avait aussi besoin de faire l’amour. Elle gémissait doucement, sans plus avoir aucun contrôle sur sa libido. Son envie de jouir était là, profane et chevillée à ses tripes. Ses jambes largement écartées, elle sentait le souffle de son amant sur la fente qui bavait d’impatience. Une douceur exquise qui envahissait peu à peu l’ensemble de son être la tétanisait par des caresses d’une inimaginable force. Son long hiver corporel se réveillait insensiblement, alors que couchée là, sur son canapé, elle geignait sous des attouchements imaginaires, elle sentait confusément que quelque chose n’allait pas. Souvent le subconscient reprenait le dessus et elle ouvrit les yeux. Elle était allongée sur l’assise de cuir fauve du sofa, ses jambes largement ouvertes et ce qu’elle entrevoyait, dépassait l’entendement. Le sien du moins ! Sa nuisette remontée par ses gestes dans son sommeil, et Einstein était là. Sa langue léchait la chatte que la jeune femme laissait très en vue. Elle fit un bond, mais le chien ne stoppait pas pour autant ses léchouilles. Maryse referma les cuisses et l’animal en geignant se remit assis près d’elle. Un instant décontenancée, elle ne savait pas comment interpréter ce qui venait de se passer. Le gronder, le punir ? ...