1. Einstein (1)


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... Mais elle était la seule responsable sans doute de ce... truc idiot. Pourquoi l’animal était-il là, a lui bouffer la fente et le pire de l’histoire, c’était qu’elle n’avait pas trouvé cela si mauvais. C’était même l’inverse qui se produisait. La brune avait failli jouir sous les coups de langue de Einstein ! Elle se traitait de folle, se cochonne, pire, de salope et... son envie n’avait pas pour autant disparu. Mais jouir restait aussi un impératif, une véritable nécessité pour la jeune femme solitaire. Dans les jours qui suivirent cet épisode étrange, elle se réappropria son corps. Lissant de ses longues mains fines au lit ou sous la douche les parties les plus intimes de sa personne. Elle râlait si souvent et avait l’impression que dans les yeux de son ami à quatre pattes, elle pouvait lire comme une attente. Jamais de désapprobation, jamais d’impatience non plus ; il restait assis le nez à la hauteur de ses cuisses comme s’il guettait cette agitation invisible qui allumait ce ventre de mille feux. Comment les choses se reproduisaient parfois ? Elle ne saurait jamais le dire. Mais un soir, un parmi tant d’autre ou de nouveau ses envies déferlaient dans son crâne, allongée devant sa télévision, le déshabillé remonté bien plus haut que la décence ne l’aurait admis, elle entreprit avec les yeux fiévreux, des caresses de soulagement. Sous ses paupières à demi closes, elle savait que Einstein ne la quittait pas du regard. Elle fit un seul petit mouvement du doigt et se remit ...
    ... assise en écartant largement les jambes. Il avait compris l’invitation tacite et en deux secondes elle sentit le souffle sur cet endroit si bouillant. La langue qui venait de la frôler avait un effet bénéfique et elle se plongea plus encore dans l’extase de ces envies aux relents d’interdits. Il la léchait avec ardeur, sans se préoccuper de savoir si c’était bien ou mal. Pour lui sans doute que le simple fait de n’être pas repoussé lui ouvrait des perspectives nouvelles. Quand Maryse rouvrit les quinquets, elle vit sous l’animal cette chose rouge et très bizarre qui restait tendue. Par quel réflexe tendit-elle la main pour sentir la texture de cette bite si différente de celle de... elle n’osait pas faire plus. Le simple mouvement de refermer les doigts sur la tige, la mettait en transes. D’instinct elle avait peur, peur de ce qui pourrait, de ce qui allait arriver peut-être. Mais dans son esprit, plus rien n’était perçu d’une façon normale et son envie la taraudait tellement. Elle se mit à serrer en repoussant vers le ventre ce qui recouvrait le sexe de son chien. Einstein faisait des mouvements avec son bassin et geignait un peu. Alors elle se laissa glisser sur la moquette du salon. Elle était à quatre pattes près de l’animal qui maintenant tentait de lui monter sur le dos. Il retrouvait les gestes instinctifs du coït et son poids, sa force étaient ceux d’un chien en pleine possession de ses moyens. Elle tentait ensuite de le calmer, de canaliser cette débauche d’énergie qui ...