1. Amélia la danseuse, Amélie la rousse...


    Datte: 28/06/2018, Catégories: f, asie, frousses, rousseurs, inconnu, cinéma, danser, collection, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... d’une façon qui sort de l’ordinaire. Ces rencontres, je les fais pour vous, pour vous les faire partager ensuite. Rares semblent être les femmes qui se laissent entraîner dans leurs plaisirs en public ou le provoque. Encore plus rares sont celles qui acceptent d’en parler librement ensuite. Après quelques secondes d’un lourd silence durant lesquels j’ai fait semblant d’être absorbé par le café qui était devant moi, c’est elle qui a rompu le silence : — Alors, lesquels ?— Il me semble que votre numéro, bien que physique, ne demande pas une telle force de respiration à sa fin …— Vous êtes un spécialiste de la danse ?— Heu … non … pas vraiment ! Devant cet aveu, je baissais la tête, rentrais les épaules et attendais, piteux. — Bon, alors, comment pouvez-vous juger de la respiration après un numéro ? Hein ! Comment ?— Voilà, je ne cherche pas à juger, mais juste à comprendre…— Ben … il n’y a rien à comprendre … Quand je termine, je suis épuisé, j’ai tout donné et c’est parce que je donne tout, que je suis épuisé … Voilà ! Autre chose ? Amelia ou Amélie était une fille de caractère, qui savait parfaitement que de nombreux admirateurs devaient l’attendre à la sortie pour tenter leur chance. Peut-être que cela faisait partie de son contrat que de satisfaire les caprices de certains d’entre eux, ou du moins de faire croire qu’elle pouvait les satisfaire. Quoiqu’il en soit, pour l’instant, la situation n’était pas à mon avantage. Aussi, avant qu’elle ne devienne catastrophique, je ...
    ... réagissais et lui expliquais mon travail, ces objectifs, ce que j’avais déjà publié, bref à la fois le baratin habituel mais en même temps, une façon de la mettre en confiance pour qu’à son tour, elle se confie à moi, se laisse aller. Mais comme la nuit avançait, elle me proposait de la rejoindre, chez elle, l’après-midi même dans son studio de danse pour la voir se préparer et pouvoir répondre à mes questions. A l’heure dite, je sonnais à la porte d’Amélie ou Amelia. Elle était en tenue d’entraînement, juste au corps blanc, collant sans pieds, pieds nus, cache-cœur bleu. Une serviette éponge autours du cou. Après m’avoir rapidement fait les honneur de son studio dont la majeur partie était occupée par un mur de miroirs, une grande barre et un sol en bois, et l’autre par une grande verrière, elle mis en marche une musique langoureuse qui, aux premières notes, vous transporte en Orient, puis s’est plantée devant moi. — Alors … tu veux que je danse pour toi ?— Je voudrais qu’on parle …— Je ne sais pas parler, je ne sais que danser … me dit-elle dans un immense sourire désarmant. Attends là, dans ce fauteuil un instant. Amélie, d’un pas souple et félin, tire les grands rideaux qui tamisent la lumière des verrières et disparaît un instant dans une autre pièce. Confortablement, je m’installe, prêt à jouir du spectacle qu’elle souhaite me donner, espérant une composition originale. Quelques instant après, Amelia revient, seulement vêtue d’un immense voile translucide, légèrement ...
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