1. Partie de campagne


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Anal Humour, Mature,

    ... qu'il n'en avait pluspour longtemps. Il maugréa que déjà les vautours tournoyaient autour delui et qu'on en avait pour son fric. Je baissais les yeux. Se doutait-ilque je fus ici en service commandé ? Il dit beaucoup de mal de Natachala cousine qui lui était attachée et dont je devais à son accident devélo d'être là. C'était une harpie. Elle ne lui passait rien. Il n'avaitplus droit de fumer ni à quelques sucreries. Je crus devoir l'assurerqu'il pouvait faire cela avec moi. Qu'il avait droit encore à prendre dubon temps. J'obtins un magnifique sourire.Son regard attaché sur mes longues jambes m'assuraient de mon ancienpouvoir. Je décidais de m'affubler d'une robe courte, légère ettransparente dont je gratifiais les plus valeureux amants. Ce vieillardméritait un pareil égard. Entre temps les SMS de mon amant devenait plusrares. Ce salaud était sûrement en train de trahir. De même mon maritrouvait que j'étais trop sage et timorée avec le vieux. Il fallaitdavantage l'émoustiller. J'étais las de tous les hommes, veules etlâches. L'envie me traversait de tout balancer et m'enfuir. Je résolusenfin de quitter ma culotte.Paul ne s'aperçut de cela qu'un soir après que je me fus penchée près delui. Il m'administra en son langage fleuri: "T'es une sainte. Je ne t'endemandais pas tant". Il me fit signe d'approcher. Auprès de lui je luicaressais les cheveux tandis que d'une main il jouait dans mes fesses.J'étais parcourue d'un étrange frisson. Je n'ai jamais pu résister encet endroit à ...
    ... une main d'homme. J'avais pas mal avancé mes pions. Ilm'importait peu qu'il me tripota de nouveau. Même vins-je une ou deuxfois sur ses genoux, acceptant qu'il toucha mes seins au travers dutissu. Le porc bandait.Pour un mourant, je lui trouvais d'immenses ressources. J'avais sousestimé ce Lazare ressuscité. Il n'était pas mécontent que Natacha laguenon eût été remplacée par moi. Il se désespérait déjà de son prochainretour. Il avait envie de profiter. Ces exigences croissaient à mesure.Au bout du troisième jour, il obtint que je le branlas dans son fauteuilpuis que j'usa enfin de ma bouche pour affermir son sexe. Je ne luiavais jamais consenti une pareille chose. Il me dit que cela lebouleversait de n'obtenir cela que maintenant qu'il fut au seuil du trépas.A ce moment de cette histoire il me faut introduire un autreprotagoniste : Franck, le voisin que je ne connaissais que de loin etcontre lequel Paul était fort prévenu. Il le soupçonnait de le voler etd'empiéter depuis longtemps sur ses champs. Ce Franck ne lui en rendaitpas moins de petits services. Il récupérait les colis de la poste etrecevait à l’occasion les ouvriers d'EDF. Pour le coup et après un orageil avait assuré à Natacha qu'il s'emploierait avec le jardinier debricoler le toit de la grange dont nombre de poutres était abîmé. C'està ce propos qu'il nous surprit un soir.En effet peu avant dîner et afin de motiver Paul à avaler son potage jesuçais benoîtement penchée sur lui. A un bruit dans le vestibule jetournais ...