1. Partie de campagne


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Anal Humour, Mature,

    ... avait fait sa maîtresse. Il me dit avec tristesse que Paulavait été réduit à cela. Je compris du coup que Franck me trouvait à songoût. Il me signifiait que je pouvais absolument acheter son silence. Leregardant fixement je dis : "J'aimerais vous faire confiance. "En un instant il fut sur moi. Il me plaqua avec douceur et non moinsd'autorité contre un poteau. Il m'embrassa. Mes lèvres cédèrent auxsiennes. Ce mâle avait trouvé d'emblée le chemin de me séduire. J’avaisenvie depuis plusieurs jours qu'on me prît et baisa virilement. Je nepouvais compter à cet égard sur le pauvre Paul qui s'en allait enquenouille. Franck m'intima de me mettre à genoux et de le sucer. Jepassais une sorte d’examen dans lequel je jetais toutes mes forces.J'aimais sucer. J'y excellais. Il me fallait l'en convaincre. Cela duraun temps.Nous convînmes de nous revoir. Cette grange semblait le théâtre idéal denos ébats. Je me faisais fort de venir durant la sieste de Paul. Franckne put réprimer un Oh ! de surprise. En effet j'avais traversé la couraccoutrée de la fameuse robe courte et transparente. En ce jour dePrintemps il ne faisait pas chaud. Cependant la brise légère qui meparcourait le cul et la chatte m'excitait. Telle une nymphe j'aspirais àce que n'importe quel dieu ou faune me posséda à l'instant. Franck jetahâtivement une couverture. J’écartais fantastiquement les cuisses.Il avait la puissance du taureau. Peu de mes amants citadins arrivaientà la cheville de ce paysan. La Terre ne ment pas. ...
    ... Travail famillePatrie. Rien que cela de vrai. Transportée je jouis ostensiblement. Jen’avais cure qu'on m'entendit. J'avais besoin de décharger toute latension accumulée ces derniers jours. Franck me baisait. Franckm'apaisait. Il me lima une heure durant recto-verso. Il vit que je nedédaignais pas la sodomie. Bien au contraire. Sa queue énorme n'en futpas moins enfournée dans mon anus. D'un ton vulgaire je lui jetais :"J'aime trop ta bite de cheval."Nous recommençâmes ainsi chaque après-midi jusqu'à mon départ. Bientôtvins-je accepter qu'il vint la nuit aussi me surprendre dans le lit.C'était sarabande jusqu'au petit matin. J’allais préparer ensuite lepetit déjeuner de Paul avec des cernes sous les yeux. Celui-ci n'enobtint pas moins que je m'assis sur lui et qu'il put cracher un peu desa semence en moi. C'était un inouï exploit. Son dernier. Il me dit émuavec une larme à l’œil : "C'est ma dernière victoire ;" Franck me dit àce propos : "T'es une chic fille." Mon mari moins amène rajouta : "Bonboulot !"J'étais résolue de me débarrasser de mon amant. De toute façon ce salaudne donnait plus de signe de vie. Si d'aventure je passais dans le coinj'assurais Franck de venir le voir. Il avait enchanté mon séjour. Pauln'était pas moins content de moi. Après ce regain de vigueur il compritqu'il allait à nouveau décliner. Le moral est tout dans la maladie.Cette garce de Natacha ne reviendrait que pour le tuer. Mon mari entretemps écrivit à celle-ci qu'il savait tous sur ses agissements. ...