1. Partie de campagne


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Anal Humour, Mature,

    ... la tête et entrevis une ombre. A ce moment le téléphone sonnadans le salon. J'avais le cœur serré. J'étais assuré qu'on nous épiaitet qu'il ne pouvait s'agir d'un fantôme. Je fonçais dans le vestibuleprétextant devoir répondre au téléphone. Je tombais sur Franck. Celui-cise raidit en guise de salut comme font les militaires. J’étais furieusequ'il se fut introduit sans prévenir dans notre domicile. Je répondaislui lançant des regards noirs.A l'autre bout c'était la garce de Natacha. Enfin au bout de quelquesjours elle venait s'enquérir de nous. Je n'étais pas dupe de son tonfielleux. Pour le coup elle devinait les gentillesses que je prodiguaisà un homme malade et dont il fallait ménager pourtant le cœur. Jedécidais de lui passer l'oncle afin qu'elle put elle-même se rassurer etme ruais de nouveau sur Franck. J'étais en colère. Lui impavide buvaitmes paroles tout sourire. Il m'asséna : "Je ne pensais pas vousdéranger." Il me ramenait soudain à mon geste qu'il avait surpris.Je me radoucis du coup. Pouvais-je me fier à la discrétion d'un imbécile? Au trente- sixième dessous et pour changer de sujet j'en vins à ce quil'amenait. Il me montra une grande feuille où se signalaient desabréviations et des chiffres. Il me dit que c'était une sorte de facturede tous les travaux qu'il avait effectué sur le toit de la grange. Ilvoulait en soumettre le détail à l'oncle. Je lui dis que ce dernierétait fatigué mais que je lui montrerais cela au plus vite. Le regard deFranck se coula sur mon ...
    ... corps. Comme une sotte j'avais conversé avec marobe sulfureuse.D'un seul élan je le raccompagnais sur le pas de la porte lui assurantqu'après une conversation avec l'oncle je viendrais demain examiner letoit. Nous convînmes d'une heure. J'étais résolue à y aller cette foisbardée d'un pull, d'un jean et de lourdes bottes. Il s'agissait de luifaire oublier tout ce dont son imagination avait pu remplir ses rêves.Assurément ce cochon avait pu distinguer tant mes seins que ma chatte etmon cul. Je craignais qu'il répandit la rumeur. J'étais penaude lelendemain. Je n'osais le regarder. Il expliqua avec à propos ces travaux.C'était de ces paysans finauds qui savent compter. A mesure que nousdiscutions, je me ravisais sur son sujet. En plein jour hors sa facerubiconde qui ne l'avantageait pas, j’appréciais cependant ses fortesépaules, sa mains larges et son torse puissant. Rien ne semblait pouvoirrésister à une telle force. Il incarnait la virilité. Peut-êtreéprouva-t-il l'effet suscité sur moi car soudain il enfonça ses yeux enles miens. "N'ayez crainte. Je n'ai rien vu hier. Vous réconfortiez levieux. C'est tout. Natacha en fait de même. Je tombais des nues. Laguenon suçait aussi. J'en crus rire.Qui eût cru qu'une grenouille de bénitier s'adonna à la fellation ? Jeme faisais fort de cette révélation pour l'abaisser. J'en fis un rapportau mari. Il me dit qu'avec cela on la tenait. Franck percevant monintérêt développa le sujet. Il pense que des années auparavant Paul plusvigoureux en ...