Madame Stears
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
ff,
amour,
Oral
69,
init,
initff,
... magasin. Pas toujours simple de supporter ses sautes d’humeur. Ce matin-là, elle est particulièrement contrariée : Maria, sa première couturière, s’absente pour plusieurs jours. Un décès dans sa famille. Depuis l’embauche, elle ne décolère pas. Heureusement, Coline, la nouvelle apprentie, a quelques dons d’imitation qui détendent l’atmosphère de l’atelier. Et puis, Coline me chuchote : — Hey, pssst, regarde dans l’entrée de la boutique… la dame qui vient d’entrer…— Qui c’est ? Tu la connais ?— Une Anglaise, elle loge au grand hôtel d’Angleterre à Saint-Lunaire. Brieg travaille pour son mari… Mister Stears, je crois… un homme d’affaires. Elle a la classe, hein ? Brieg m’a dit qu’il m’emmènera à Londres un jour. Tu penses qu’elles sont toutes comme ça, les Anglaises ?— Je ne sais pas.— Elle a toujours des robes incroyables ! Elle ne passe jamais inaperçue. Ce n’est pas nos clientes qui nous commanderaient des tenues pareilles ! Pfff… toujours les mêmes vestes, toujours les mêmes couleurs unies, toujours la même hauteur de jupe. Ici, c’est le curé qui fait la mode ! dit Coline désespérée. Madame Le Pennec arrive dans l’atelier avec son humeur détestable : — Thérésa, tu vas remplacer Maria ! Tu finiras les surpiqûres plus tard. Va au petit salon, prends les mesures de madame Stears et dépêche-toi ! Mon mètre ruban en main, je file au salon. Madame Stears n’est pas seulement classe comme dit Coline. Elle en impose : grande, élégante, vêtue d’une robe courte près du corps, un style ...
... qui affirme ses rondeurs. Elle ose la couleur, le tissu fluide et souple. C’est certain, elle détonne avec notre clientèle habituelle. — Bonjour, Madame.— Bonjour, vous êtes Thérésa ?— Oui, c’est moi. Je vais prendre vos mensurations.— Ah, c’est le grand moment de vérité ! J’espère que vous serez indulgente, me dit-elle avec un accent très séduisant et un air amusé. Elle se déshabille sans beaucoup d’embarras. Son foulard en soie cache un décolleté presque inconvenant, mais magnifique. Elle est vraiment très belle. Ses dessous en dentelle dessinent et galbent parfaitement sa poitrine avec des effets de transparence très subtils. Je suis restée figée comme fascinée à la vue de ses formes : sa poitrine magnifiquement mise en valeur, ses hanches et ses très belles jambes, ses dessous osés, son aisance à assumer son corps. Je suis un peu embarrassée et je fais profil bas pour éviter de croiser son regard. — Faut-il que j’enlève mon soutien-gorge ? me dit-elle en me cherchant du regard.— Euh… non… non, ce n’est pas nécessaire Sa robe est une robe de couturier, c’est évident ! Pourquoi me pose-t-elle cette question ? Le tour de poitrine se prend avec un soutien-gorge, elle le sait sûrement ! — Je vais commencer par votre cou, pouvez-vous relever vos cheveux ?— Oh oui, évidemment. Ses bras levés et sa nuque dégagée élèvent un peu plus sa poitrine magnifique. Son parfum délicat me complique un peu plus la tâche pour prendre les mesures de son cou et de ses épaules. C’est la première ...