Madame Stears
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
ff,
amour,
Oral
69,
init,
initff,
... fois que ces gestes simples sont aussi difficiles. Je dois faire d’énormes efforts de concentration pour prendre les mesures de sa poitrine. Son soutien-gorge en dentelle, décolleté, légèrement transparent est unique. C’est d’autant plus difficile que je sens son regard sur moi. Je suis à la fois paralysée et fascinée par cette femme sublime. Le mètre ruban me tombe des mains, je suis confuse, je dois reprendre la mesure de ses hanches. Je ne comprends pas ce qui se passe : mon embarras, ma paralysie, ma fascination. — Prenez votre temps ! Soyez tranquille, je ne suis pas pressée.— Oui, merci, j’ai presque terminé.— Vous travaillez ici depuis longtemps ? Vous semblez si jeune et déjà très bien habituée.— Depuis deux ans maintenant. Voilà, j’ai terminé. Quelques minutes après, je me réfugie dans l’atelier pour tenter de reprendre mes esprits. Tout le monde est parti déjeuner sauf madame Le Pennec qui discute avec madame Stears dans la boutique. Je déjeune dans l’atelier et je n’arrive pas à penser à autre chose, je suis fascinée et complètement séduite. Ce moment de rêvasserie est vite interrompu par madame Le Pennec ! — Thérésa ! Où est Coline ? Elle n’est pas encore arrivée ?— Non, elle déjeune à l’extérieur aujourd’hui.— Tu vas travailler sur la robe de madame Stears. Maria ne sera pas de retour avant deux semaines et ça ne peut pas attendre. Tu diras à Coline qu’elle termine ton travail. Voici la commande pour madame Stears. Elle me tend le papier et j’ai du mal à y ...
... croire. Je suis ravie, presque euphorique. Je me suis attelée au travail dans la foulée. Je suis tout excitée à l’idée de m’occuper de cette robe. Plein d’idées et d’images me viennent à l’esprit. Madame Le Pennec m’a donné quelques indications de tissus et un patron de base beaucoup trop conventionnel à mon goût. Je commence par m’octroyer pas mal de libertés pour simplifier sa ligne en accentuant le côté « près du corps », en ajustant sa taille pour mettre en valeur sa poitrine et ses hanches. — Encore au travail ! Pfff, mais tu n’as pas déjeuné ? dit Coline en entrant dans l’atelier.— Si, si, mais j’ai du travail. Au fait, tu dois terminer la jupe de madame Prigent. Il reste seulement à surfiler et coudre l’ourlet. Tu devrais t’en sortir facilement. Le Pennec m’a donné la robe de madame Stears.— Houuuu, tu en as de la chance ! C’est pas tous les jours qu’on peut se faire plaisir sur des robes sexy ! Toute la semaine, je suis arrivée tôt le matin et restée tard le soir. Je voulais que cette robe soit parfaite, soit à son image, subtile, différente, assumée. J’ai commandé un tissu beaucoup plus souple, fin et très agréable à porter en respectant les couleurs demandées. J’ai retravaillé le patron jusque dans ces moindres détails pour accentuer sa féminité. J’ai soigné les pinces et les coutures d’assemblages pour un ajustement parfait sur son corps. Quand je l’imagine porter cette robe, j’ai comme des frissons. J’en ai rêvé toute la semaine. Je repense à cette femme chaque soir, je ...