Madame Stears - Histoires de Sexe

Madame Stears

... suis troublée par mes propres pensées. Après le déjeuner, madame Le Pennec vient me voir : — À force de tout changer, tu passes trop de temps sur cette robe. Résultat : elle n’est pas prête à temps ! Madame Stears a demandé à ce que tu passes la lui apporter demain matin à l’hôtel pour l’essayage. Allez, au boulot ! Il te reste l’après-midi pour terminer. J’y passe la soirée. Son souvenir me maintient éveillée et je suis tout excitée à l’idée de la voir dans cette robe. Le lendemain, je me rends à l’hôtel, stressée et enthousiaste de voir le résultat sur elle. Le personnel de l’hôtel me conduit directement dans la suite de monsieur et madame Stears. — Bonjour, Thérésa.— Bonjour, Madame.— Merci d’être venue jusqu’ici. Suivez-moi, nous allons nous installer dans la chambre. J’ai hâte de voir le résultat. Elle commence à se déshabiller devant moi. Pendant quelques instants, je suis restée bêtement à la regarder. Ce moment est vite écourté, je m’aperçois qu’elle me regarde elle aussi à travers le miroir. Elle essaye la robe. Bien que je sois assez fière de moi, j’ai peur d’avoir pris un peu trop de liberté. Elle marque parfaitement sa taille et met en valeur son magnifique décolleté. C’est certain, à Saint-Brieuc, ce type de robe fait mauvais effet : trop décolleté, trop court, trop près du corps. Elle est parfaite… enfin, parfaitement ajustée. — Ce n’est pas du tout ce que j’ai demandé, dit-elle en souriant.— Euh… excusez-moi.— Mais bravo, elle me va parfaitement bien. C’est ...

... une vraie surprise ! Vous avez l’œil et du talent. Qu’en pensez-vous ? Elle me va bien, non ?— Euh… oui, elle est bien ajustée. Il me semble qu’il y a très peu de retouches à faire…— je vais être obligée de vous en commander une autre. J’ai besoin d’une robe… disons plus discrète pour aller à Glasgow, chez des amis de mon mari. Ah, il y a juste quelque chose qui m’ennuie sur cette robe. Est-il possible de la raccourcir un peu ? Je la trouve légèrement trop longue.— Oui, bien sûr, on peut faire un essai. Et me voilà à nouveau dans l’embarras. Je suis à genoux devant elle pour poser les épingles et raccourcir la robe. J’essaye d’être rapide pour éviter qu’elle ne s’impatiente. Je me pique à plusieurs reprises. Cela me trouble énormément d’être à nouveau aussi proche. Elle pose la main sur mon épaule et me dit : — Prenez votre temps, Thérésa.— Voilà, j’ai terminé. Qu’en pensez-vous ? Cette longueur vous convient-elle ?— Oui, c’est tout à fait ça. Vous ne voulez pas l’essayer ? J’ai besoin de la voir portée. Je suis sûre qu’elle vous irait très bien.— Je ne suis pas sûre. Elle est faite pour vous, à vos mensurations.— S’il vous plaît, vous avez bien quelques minutes. J’aimerais la voir portée sur vous.— Si vous insistez. Intimidée, j’enlève ma robe en regardant par terre. Je sens son regard sur moi. Une fois en sous-vêtements, elle m’apporte la robe et pose de nouveau sa main sur mes épaules nues. Évidemment, la robe ne me va pas aussi bien. Ma poitrine ne prend pas tout le bonnet. ...