1. Madame Stears


    Datte: 02/07/2018, Catégories: ff, amour, Oral 69, init, initff,

    ... Aussi, je suis légèrement plus grande et la robe est vraiment très courte sur moi. — Ça vous bien aussi… Attendez, je pense que… je pense qu’il faut l’ajuster. Vous permettez.— Euh oui…— Votre soutien-gorge est juste mal positionné. Et là, je suis resté tétanisé : madame Stears passe sa main dans mon soutien-gorge pour repositionner mon sein droit puis mon sein gauche. Surprise par ces gestes si intimes, je suis complètement paralysée. Elle fait ça avec un tel naturel. Cela m’a coupé le souffle. J’ai une peur terrible qu’elle ait deviné mes sentiments. — Voilà, c’est parfait, me dit-elle, puis elle ajoute : quand on a de beaux atouts, il ne faut pas hésiter à les montrer. À cet instant, je suis rouge écarlate. Je me rhabille sous son regard, je reprends la robe et ma trousse de couture. On convient d’un deuxième rendez-vous pour le dernier essayage. Je suis sortie de ce rendez-vous toute fébrile. Le soir venu, je me remémore la douceur de ses mains sur mes seins, son corps si… si attirant. Ce soir-là, je découvre le plaisir et la sensibilité de mon corps. Je comprends au fur et à mesure cette attirance particulière que l’on ne nomme pas. J’étais à la fois honteuse et enivrée par ces sensations, ce plaisir, l’image de madame Stears nue. Je ne résiste pas et me caresse en pensant à elle. Deux jours plus tard, je me rends au second rendez-vous vêtue d’une robe plus décolletée, cachée par un gilet convenable. Une fois à l’hôtel, j’ai retiré mon gilet et découvre les effets de ...
    ... ma robe sur le personnel, les regards insistants à peine discrets. Cela m’émoustille. Madame Stears m’accueille, surprise : — Oh Thérésa ! Vous êtes très jolie dans cette robe.— Merci.— Le dernier essayage vous a donné des idées, me dit-elle souriante. Une nouvelle fois, nous nous rendons dans la chambre. Madame Stears se déshabille et je découvre alors des sous-vêtements très sexy. Elle me regarde et me dit : — Vous connaissez ces dessous ? Je les ai fait venir de Londres. Approchez, approchez, vous qui aimez les tissus, regardez c’est de la dentelle brodée ! C’est magnifique ! Sa poitrine prend parfaitement le bonnet, une broderie noire sur une dentelle quasiment transparente, ces armatures qui poussent sa poitrine en avant, le décolleté plongeant. Je sens la chaleur me monter et je n’arrive pas à décoller mon regard de cette sublime poitrine. — Touchez, regardez comme c’est doux. Joignant le geste à la parole, elle prend ma main et la pose sur ses seins. Je suis pétrifiée : la dentelle fine, le bout de ses seins fermes et redressés, son parfum toujours enivrant. Mes jambes fléchissent légèrement. Elle me retient, pose sa main sur ma taille et l’autre sur la nuque. Elle me regarde avec son sourire plein de malice et m’embrasse avec beaucoup de force. Je suis pétrifiée. Puis elle me rassure et me dit : — N’ayez pas honte. Il faut savoir se faire du bien. Je descends mes mains sur ses fesses généreuses. Elle colle ma tête sur sa poitrine et glisse sa main sous ma jupe. Je me ...
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