La salope (3)
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
Erotique,
... soutien-gorge aux formes envoutantes. Rien de bien particulier j’en conviens. Puis finalement, hésitante entre plusieurs ensembles qui me tapaient dans l’œil, je prenais mon parti d’aller dans une cabine pour essayer ceux sur lesquels mon choix s’était porté. La femme au chignon s’était approchée de moi. — Bonjour ! Ça va, vous trouvez votre bonheur ? — Oui, enfin... vous voyez, difficile de ne pas craquer ! Vous avez tant de choix. — Vous voulez passer dans une cabine pour les essayer ? — Oui, j’y allais. Elles sont toujours au fond là-bas ? — Oui ! Je vois que madame connait notre boutique. — Je suis une vieille cliente, c’est vrai. — C’est bien ! Si vous avez besoin de moi, je ne suis pas très loin ! — Merci... Dans le réduit aux rideaux tirés, j’avais entrepris de passer un soutien-gorge qui me plaisait. La taille ne me convenait pas trop. Je me sentais un peu trop à l’étroit dans ce cache-sein. Mais pour m’en rendre compte, il me fallait sortir de la cabine et parcourir quelques mètres dans le magasin. Je faisais ces quelques pas et devant la glace, je me tournais, me retournais et la vendeuse à quelques encablures me souriait. — Il est sans doute un peu juste pour votre poitrine, vous voulez essayer une taille au-dessus ? — Oui, je veux bien. J’apercevais la femme qui filait entre les portants et revenait en tenant le frère jumeau du soutif que j’avais passé. En entrant dans la cabine, elle m’avait suivi, mais elle attendait à cinquante centimètres du rideau tiré. — ...
... Celui-là vous convient mieux ? — Oh oui ! C’est exactement ce qu’il me faut. — Tenez, j’ai aussi pris le bas, je suppose que comme pour le dessus, il vous manque une taille. On les positionne sur les cintres avec la taille équivalente pour les hanches... donc ça ne doit pas convenir. — Attendez, je mets le bas ! Ah ! Oui vous avez raison... j’ai quelques kilos de trop sans doute pour entrer dans celui-ci. — Tenez ! Voici ce qu’il vous faut. La jeune brune avait repoussé légèrement le voilage qui servait de cloison et elle me regardait avec des yeux fiévreux. Au bout de sa main pendait une culotte assortie à la brassière que je portais encore. Et alors que je laissais descendre sur mes fesses la lingerie trop petite, je m’apercevais qu’elle n’avait pas refermé cette paroi qui aurait dû me séparer de ses regards. Non ! Elle me chouffait avec une sorte de lubricité dans ses iris bruns. Je ne savais pas trop sur quel pied danser. Je ne cherchais pas à la provoquer. Non ! C’était simplement comme un jeu. Elle voyait et je montrais. Pas de fioriture, pas d’atermoiements ! Et comme elle ne détournait pas les yeux, par défi, je me tournais vers elle. Le slip que je quittais, laissait, bien visible ma toison aussi brune que sa chevelure. Ses petites billes me suivaient et je voyais aussi au fur et à mesure que je quittais la culotte, son front qui s’empourprait. À quel moment mon bras était-il sorti pour attirer vers moi cette autre femme ? Je ne m’en souvenais pas, mais j’avais bien ...