1. La salope (3)


    Datte: 03/07/2018, Catégories: Erotique,

    ... fait ce geste pour la faire entrer dans la cabine. Et elle n’avait pas rechigné quand je l’avais embrassée. Elle me rendait un baiser aux senteurs agréables. Son parfum musqué me flattait les narines et sa peau avait une étrange douceur. Quand d’une main ferme, j’avais attiré la sienne pour la plaquer sur mon ventre, elle n’avait pas eu un mouvement de recul. — J’ai eu envie de vous dès que vous êtes entrée. — Comment tu t’appelles ? Tu veux que nous fassions l’amour ici, tout de suite ? — Judith ! Non... non une cliente ou une de mes collègues pourraient nous surprendre... mais ça va être l’heure de ma pause déjeuner. Vous voulez que nous nous retrouvions quelque part ? — Et ce serait où ce quelque part ? — Je ne sais pas... une chambre à l’hôtel qui se trouve à côté ? — Et bien d’accord ! Je finis mes achats et je t’attends devant la porte de ton magasin... — Oui... d’accord. — Attends ne pars pas, pas encore. Mets-toi à genoux... là devant moi. — Mais, si on venait à... — Chut, allons fais ce que je te dis... à genoux... et lèche moi juste une seconde... au moins tu auras le gout de ma mouille sur la langue. Tu es une cochonne ? — Humm ! Vous me faites aussi mouiller... — C’est bien ce que j’espère. Allons... Vas-y ! La jeune femme avait cédé et je me sentais la reine du monde. Finalement c’était trop facile, trop simple. Je me revêtais en pensant à cela et alors que je payais mes achats, la fille qui déambulait dans les allées avait toujours les yeux braqués sur ma ...
    ... personne. J’allais déposer mes paquets dans le coffre de ma voiture et la vendeuse sortait de sa boutique. — Me voilà ! Nous avons tout juste une heure et demie pour... — Viens alors, nous n’avons pas de temps à perdre. Viens. La jeune femme était à mes côtés pour les cent mètres à faire qui nous séparaient de l’hôtel. Je faisais chauffer ma carte bleue pour obtenir un code qui allait nous ouvrir le paradis durant le temps du déjeuner. Elle était derrière moi et je sentais son souffle qui frôlait ma nuque. Pas un seul mot alors que nous montions toutes les deux les escaliers qui menaient à la chambre. Une fois dans celle-là, nous nous déshabillions sans un mot. À peine nous étions-nous couchées sur le lit, qu’elle me frôlait déjà les seins. — Comme ils sont beaux, ils donnent envie d’y mettre la bouche... — Alors, ne te gêne pas ! J’adore être léchée de partout. Je dois quand même t’avouer que je n’ai jamais fait l’amour avec une femme. Tu es mon galop d’essai. Ses mots à elle se perdaient dans l’embrassade et la succion d’un téton. Elle sentait bon et son corps était presque parfait. Sans doute qu’elle aimait aussi les femmes parce qu’elle savait exactement où il fallait poser les doigts, fouiller de la langue, ou caresser pour que je gémisse. En tous cas cette Judith avait une bonne langue et j’appréciais au plus haut point les massages qu’elle me prodiguait sans murmurer. Elle se mouvait aussi dans des reptations tout en tendresse et n’omettait aucun endroit. Sa salive partout ...