La salope (3)
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
Erotique,
... faisait luire le bas de mon corps de mes seins à ma chatte. Une étrange, obsédante odeur de sexe aussi parfumait la piaule où nous nous ébattions. Je dis, nous ! Parce qu’à un certain moment il fallait bien que je me jette à l’eau. Alors qu’elle m’ouvrait délicatement le compas de ses deux bras, son corps tout entier était passé sur le mien. Son ventre venait juste d’atterrir sur mon visage. Elle se frottait tout en continuant ses caresses buccales, elle se démenait, son sexe absolument lisse se déplaçant lascivement sur ma face. Coincée sous son poids, je sentais ces effluves particuliers, et cet appel des sens me rendait folle. Oui ! Vraiment folle d’un désir encore inconnu, d’une envie de lécher ce minou qui ressemblait, poil en moins bien entendu, tellement à celui qui ornait mon entrejambe. D’abord timidement, puis de plus en plus ardemment, j’y laissais errer aussi la pointe baveuse de ma langue sortie pour la circonstance d’entre mes lèvres. Le premier contact était singulier, bizarrement différent de tout ce que j’avais connu en sexe jusque-là. Si j’avais déjà caressé ma fente, jamais, je n’en avais embrassée, puis léchée une d’aussi semblable. Rien à voir avec la queue d’un mec. Non, c’était plus lisse, plus délicat, enfin... je ne saurais dire, c’était tout autre. Et plus elle me léchouillait, plus mon envie et le besoin d’en faire autant me prenaient à la gorge. Pourquoi après tout refuser ces instants de pure magie ? Je me laissais aller, me lâchais donc dans ...
... une découverte sensuelle et merveilleuse. Une révélation finalement que ce soixante-neuf nouveau me faisait découvrir. Des sensations toutes particulières, des frémissements profonds montés de mes entrailles pour venir mourir en rosée claire dans une bouche amicale. Un vrai bonheur et le temps passait si vite que Judith d’un coup, s’apercevait qu’il était l’heure pour elle de reprendre son poste. Nous avions cependant convenu de nous revoir et nos zéros six échangés, je la déposais devant sa boutique. C’est juste une semaine après que nous nous sommes revues. Le samedi soir, pour ces retrouvailles, j’avais préparé chez moi, un diner aux chandelles. Chez elle quelque chose m’attirait et réveillait mes sens, me perturbait même. Nous avons dansé dans mon salon, et comme pour l’hôtel nous avons terminé nues. Sur le canapé, devant un feu de bois, nos corps ont entamé des ballets délirants, des arabesques d’un érotisme torride. Elle se creusait sous des caresses qu’elle m’avait apprises, et j’étais bonne élève. Et la maitresse aussi se montrait... douée dans l’art de recevoir autant que donner. hynhccmj Jeux de mains, jeux pas vilains ! Les nôtres nous ont entrainés des heures loin de tous, dans des extases chaque fois renouvelées. Elle gémissait autant que je criais et toutes deux nous avons aimé ces moments de folie où nos ventres se frottaient l’un à l’autre, un savant mélange de nos laves en fusion nous apportait un vrai bien-être. Mille fois sur le métier nous avons remis notre ...