Petits arrangements entre filles - Histoires de Sexe

Petits arrangements entre filles

... plissé que Cécilia, qui avait posé ses jambes sur mes épaules, me présentait complaisamment. Cécilia repris sa position du début sur le bord de la chaise, semble-t-il à regrets. D’un ton ironique et légèrement dominateur : — Ça y est, tu es prêt, je peux continuer à pisser en sécurité sans m’en mettre partout ? Sans un mot, je me remis à ma place, la bouche et les sens ouverts prêt à déguster ce champagne si généreusement offert. Cet épisode avait complètement décontracté ma généreuse donatrice. Dès lors, sans effort particulier, elle se mit à pisser par petits jets délicatement dosés, me laissant le temps de déguster et d’avaler le breuvage aphrodisiaque au fur et à mesure de sa production. Elle se permit même des commentaires en direction de Marie-Thé me ramenant à la condition d’accessoire : — Tu ne sais pas ce que tu rates, une fois que les réglages sont faits, c’est bien agréable de se soulager dans une bouche avide, surtout quand on a une grosse envie comme la mienne. Marie-Thé ne disait rien. — Allez Julien, encore un peu, j’ai des réserves. Cécilia était euphorique. — Marie-Thé ! Il va falloir l’entraîner pour qu’il puisse boire sans que l’on soit obligée de s’arrêter entre deux gorgées. Joignant l’action à la parole, elle laissa filer un long jet peu puissant mais intarissable. Respirant par le nez, je réussis, entre succions et déglutitions, à faire face à la situation sans en laisser échapper une goutte. Lorsque tout sembla fini, je la léchai avec application pour ...

... nettoyer ce sexe devenu soudainement le centre du monde. De son côté, elle se laissait faire négligemment et puis sentant venir la fin inéluctable de ma mission et sans respect pour le nettoyage que je venais d’accomplir avec dévotion, elle trouva les ressources nécessaires pour produire encore deux petits jets pour se vider parfaitement la vessie. — C’est fini, y en a plus, tu en as eu assez j’espère ? S’il te plaît, nettoie-moi tout ça comme il faut ! Après l’avoir bien nettoyée de nouveau, je me relevai bandant comme un porc, le visage rouge ne sachant quelle attitude prendre entre les deux femmes. Cécilia semblait très décontractée, Marie-Thé était plus crispée, elle m’interrogea néanmoins : — Alors, ça y est, depuis le temps que tu me le réclamais, tu dois être content maintenant que tu y as goûté ? Alors ! comment as-tu trouvé le pipi de Cécilia ?— Ben ! Au début ça surprend un peu parce que c’est légèrement salé, mais ce qui surprend le plus, c’est que c’est chaud. Après on s’habitue et même ça devient vite très agréable. Oui, finalement, c’est bon, merci Cécilia !— Si je comprends bien, je peux t’utiliser n’importe quand ?— Je suis à ta disposition, ma chérie, quand tu veux ! Cécilia se leva, et tout en réajustant sa petite culotte, elle déclara, moqueuse : — Bon, et bien c’est pas tout ça, mais maintenant que j’ai fait mon petit pipi, je peux rentrer chez moi… parce que je suppose que vous n’avez plus besoin de moi ? Elle avait à peine tourné les talons que, fébrile, ...