1. Petits arrangements entre filles


    Datte: 24/07/2017, Catégories: fh, ffh, hsoumis, fdomine, Oral uro,

    ... je pris Marie-Thé dans mes bras, celle-ci se raidit en détournant la tête. — Surtout, ne m’embrasse pas ! Je n’en avais pas l’intention, je n’avais que faire d’un baiser de cinéma, n’ayant qu’une envie, mais c’était une très grosse envie, de celles qui vous ramènent à l’état de bête sauvage, je ne pensais qu’a soulager ma queue tendue au maximum. La renversant sur la table, je la fourrais jusqu’à la garde, mon chibre nageant dans un océan de bonheur, découvrant la plénitude de l’espace intersidéral où plus rien n’existe des contingences terriennes. Apparemment le spectacle ne l’avait pas laissée de marbre. Marie-Thé, un peu choquée de ma fougue du début, se mit au diapason. Nous voguâmes dans des contrées lointaines, jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de bonheur, l’émotion nous entraînant aux limites du paradis, je ne pus retenir plus longtemps le flot de ma jouissance. Et la soirée ne faisait que commencer. Après avoir repris ma respiration, je m’attachai à entraîner Marie-Thé dans mon délire. L’entraînant dans le lit, je la léchai partout et surtout aux endroits où elle était le plus sensible, la sueur avait pris le dessus sur le cinq de Channel, je taraudais sa petite rosette de ma langue. Lorsque je me rendis compte que j’étais parvenu à mes fins, paraphrasant Cyrano citant Scaramouche "À la fin de l’envoi je touche !" Nous continuâmes ainsi nos jeux comme au bon vieux temps de la découverte. Fatigués, repus, nous nous endormîmes sans nous en rendre compte et sans savoir ...
    ... que cette baise était comme le chant du cygne. Ce fut la dernière fois où nous avons baisé avec autant d’intensité. Quelques jours plus tard, Marie-Thé m’informa qu’elle devait pour son travail, participer à un séminaire en Tunisie. Elle m’en avait effectivement parlé un mois auparavant mais à l’époque, m’avait assuré qu’elle avait réussi à passer à travers. Là, brusquement, plus question de se désister. Plutôt déçu, il ne me restait plus qu’à m’incliner. Marie-Thé avait changé, le départ devant avoir lieu en fin de semaine. Elle se refusa à moi jusqu’à la veille de son départ, ne m’autorisant qu’à me soulager sans s’impliquer davantage. À son retour, les choses allaient en empirant, les non-dits créaient une tension entre nous jusqu’au jour où elle m’avoua qu’elle avait cédé aux avances de son supérieur pendant le séminaire. D’un commun accord nous décidâmes de prendre du recul pour faire le point chacun de son côté. -------------------------------- Epilogue Deux semaines après notre séparation, je rencontrai Cécilia comme par hasard, enfin, hasard pour moi ; la suite me confirma que le hasard n’y était pour rien. Elle m’invita à venir manger le lendemain chez elle. Etre invité à manger est toujours une aubaine pour un célibataire esseulé, et puis cela serait l’occasion d’en savoir un peu plus sur Marie-Thé. Je me présentai le lendemain, un bouquet de marguerites à la main, tradition oblige. J’étais attendu, Cécilia était sur son 31, décolleté pigeonnant, jupe froufroutante, ...
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