1. Mal de mer


    Datte: 06/07/2018, Catégories: ff, fhh, cocus, Collègues / Travail bateau, Oral préservati, Partouze / Groupe confession,

    ... spontanéité, cette réserve au début, donner l’impression que c’est la première fois, que l’homme est un bon amant…— Oui, mais là ils étaient deux.— Je ne le savais pas. Surtout que le secrétaire participerait. Vous aviez déjà fait l’amour à trois avec votre femme ?— Jamais.— Mais vous n’êtes pas dans la tête de votre femme. Il n’y a pas que nous, les hommes, à avoir des fantasmes. Moi aussi j’ai suivi la rencontre. Elle a joint l’utile à l’agréable. Et vous, vous n’avez pas apprécié ?— Oh, que si ! Comme Léa avec vous et Anne.— Alors, que dire de plus ? Léa – si elle accepte – aura des occasions de tester son pouvoir de séduction dans des situations qui sont exceptionnelles, et vous y trouverez votre plaisir. Je m’engage à vous inviter le plus souvent possible : ainsi vous pourrez être aux premières loges ou, au pire, une vidéo de ses rencontres.— Je ne sais plus quoi penser…— Par contre, il y a un point très important : on n’est candauliste que si sa femme est partenaire. Cela veut dire qu’elle est informée, et bien sûr volontaire. Chacun doit y trouver son bonheur sinon c’est du voyeurisme, et très vite la rancœur et la jalousie tuent le couple. L’homme ne voit plus qu’une femme infidèle qui le trompe à la moindre occasion.— Mais Léa ne sait pas que j’ai regardé. Comment le lui dire sans la choquer ? Je n’ai jamais reparlé de la croisière.— Justement, profitez de votre nomination et de mon offre d’embauche pour le lui dire. Retournons auprès de nos femmes. Laissez-moi ...
    ... annoncer cela à votre épouse ; vous verrez bien comment elle va réagir. Peut-être que nous faisons des plans sur la comète et qu’elle va refuser. Refuser ? Je crois qu’elle n’a pas hésité un instant. D’abord, à l’annonce de ma nomination, il est évident qu’elle a été soulagée. Ses efforts avaient été couronnés de succès. Je l’ai même trouvée imprudente car je l’ai surprise à envoyer un "merci" silencieux à mon patron. Pour sa propre nomination, elle a mis quelque secondes à comprendre. Comprendre le salaire, mais aussi les absences, et surtout ce que cela signifiait. Une fois qu’elle a intégré toute l’étendue de sa tâche future, elle s’est tout de même posé la question de savoir ce que j’en pensais. — Mais toi, chéri, qu’en penses-tu ?— C’est toi qui décides. Pierre m’a expliqué combien tu étais douée pour ce type de travail, mais je le savais déjà ! C’est à ce moment que mon patron, entraînant sa femme avec lui, a dit : — Laissons-les. Ils ont des choses à se dire. Seuls, Léa me regarde. — Pourquoi nous avons des choses à nous dire ? Et que veux-tu dire par « Je le savais déjà ! » ?— Viens dans mes bras, chérie, nous avons à parler. Tu te souviens, sur le bateau, alors que j’étais à l’hôtel et que nous avions "skypé" ?— Bien sûr.— Eh bien… Elle est passée par toutes les émotions. De la honte à la colère. Longtemps j’ai dû lui expliquer que je comprenais, que je ne lui en voulais pas, au contraire. Que son désir de m’obtenir ce poste avait été un formidable déclencheur. ...