1. Je découvre


    Datte: 24/07/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, pénétratio, confession, extraconj,

    ... pris une coupe de champagne et j’ai pris le temps de contempler les œuvres. Antonio est arrivé plus tard. Presque une heure plus tard, je crois. Il m’a fait la bise. J’ai rosi. Il m’a présenté le peintre. Nous avons discuté peinture contemporaine. J’étais passionnée. Antonio discutait avec d’autres personnes. Parfois nous nous regardions furtivement. Le peintre discutait désormais avec d’autres personnes. Je me suis retrouvée seule. Je suis restée encore quelques minutes devant les œuvres puis j’ai été voir Antonio pour le remercier de son invitation et lui dire que j’allais rentrer. Il m’a demandé de patienter cinq minutes qu’il n’en avait plus pour longtemps ; il discutait « affaires », je crois. J’ai patienté encore quelques minutes puis, de loin, je lui ai fait lire sur mes lèvres « JE PARS ». J’ai remis ma veste et je suis sortie. Il m’a rattrapée sur le trottoir. Chez lui C’est moi qui l’ai embrassé. Sur le trottoir. Je l’ai regardé, complètement chamboulée, je l’ai interrogé : — On fait quoi ? Il m’a souri, il m’a dit : — Viens. Il m’a prise par la main et m’a amené à son scooter. Il y avait deux casques dans le coffre. Je lui ai demandé : — Tu m’emmènes où ?— Chez moi. À chaque feu rouge, sa main droite venait caresser mon genou. Mon cœur battait si fort. Je pensais à mon mari, j’avais « pleine conscience » de ce que je faisais. Il habitait dans le 17e, un immeuble haussmannien. Très classe. On s’est embrassé dans le hall, on s’est embrassé dans le petit ascenseur ...
    ... ajouré. On s’est embrassé dans le couloir de son appartement. Ma veste en cuir a glissé par terre tandis qu’il me coinçait contre le mur gris taupe de son couloir. Face à face les yeux dans les yeux. Sa main a glissé entre mes cuisses sous ma petite robe en laine grise. Les yeux dans les yeux, face à face, sa main entre mes cuisses, ses mots : — C’est ça que tu veux. Et moi qui me cambre, féline, vers lui, pour mieux m’offrir à sa main. Moi qui le regarde sans cacher mon désir. Et lui, prédateur qui me sourit, qui me fait tourner face au mur. Ses mains qui remontent ma robe. Il se frotte contre mes fesses à travers mes collants. Je sens son sexe bandé. Ses mots à mon oreille sont terriblement crus, terriblement excitants… Je tourne mon visage pour l’embrasser. Avant qu’il ne se mette à genoux derrière moi pour baisser mes collants à mi-cuisses et écarter ma petite culotte échancrée. Sa langue est gourmande, sa langue est curieuse, sa langue est épaisse. Je suis là, les mains posées sur le mur d’un appartement inconnu, je me fais lécher par un mec que je connais à peine, qui pétrit mes fesses en les écartant pour laisser sa langue gourmande explorer les parties les plus intimes de mon corps. J’ai « pleine conscience » et j’aime ça. J’ai aimé aussi quand il s’est redressé et qu’il a insinué doucement ses doigts dans mon vagin ; d’abord son majeur, puis son index ; d’abord doucement puis plus virilement et profondément et j’ai gémi sous ses doigts j’ai gémi et j’ai aimé. Nos corps ...