Je découvre
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
pénétratio,
confession,
extraconj,
... étaient en fusion, ses mots torrides dans mon oreille… Il a retiré ses doigts pour ouvrir son pantalon. J’ai demandé un préservatif. Il m’a demandé de le laisser faire, mais s’est couvert d’une protection. Il s’est enfoncé en moi, ancré en moi assez puissamment. J’ai pris appui sur le mur les mains à plat, en me cambrant un peu, offerte. Et j’ai ressenti son premier coup de reins et j’ai gémi sous le mouvement de son sexe dans mon ventre. Puis un deuxième quelques secondes après et cette sensation d’être vraiment prise… Son visage dans mes cheveux. — C’est ça que tu aimes ? Je n’ai pas répondu. Et un autre coup de reins puissant a suivi. Et j’ai gémi encore fort. C’était bon. Fort, intense, puissant. Il m’a baisée d’abord comme ça. Puis, il s’est planté au fond de moi. Et à mon oreille : — À toi. Bouge ton cul. Montre-moi que tu aimes. Et je me suis mise à onduler sur son sexe, lui immobile. Là, chez lui, dans le couloir, les mains sur le mur, les yeux fermés. Lui immobile, mais déjà profanateur par ses mots qu’il prononçait à mon oreille tandis que j’ondulais : — Je savais que je te baiserais. Je savais que tu aurais envie que je te baise. À nouveau, un puissant coup de reins me fait gémir plus fort et m’immobilise contre le mur. Et lui qui continue de me parler à l’oreille : — Bouge ton cul, coulisse sur ma queue. ...
... Sa main gauche qui se pose sur mon ventre, qui descend, ses doigts qui glissent vers mon bouton. Et on a entamé une danse lascive, sous la caresse de ses doigts, moi bougeant lentement sur son sexe. On a baisé comme ça de longues minutes. Des « Oh c’est bon » et des « ouiiii » ce sont échappés de nos bouches, sous forme de gémissements lascifs. Et j’ai joui en criant sous l’effet de ses doigts et de son sexe planté en moi. Et il a joui dans la foulée me faisant ressentir au plus profond de mon ventre les saccades de son sexe délivrant sa semence. On est resté encore de longues minutes comme ça dans la même position, contre le mur lui posé contre moi, à reprendre nos esprits. J’ai fini par murmurer : — Je dois rentrer. Il m’a dit : — Non, reste. J’ai répondu : — Je ne peux pas. J’ai remis en place ma petite culotte et j’ai remonté mes collants. J’ai ramassé ma veste par terre. Il m’a pris le poignet et m’attirée contre lui en me glissant à l’oreille qu’il avait adoré. Je lui ai répondu que moi aussi. Un dernier baiser posé sur mes lèvres. Je suis partie. Seule dans la nuit Seule dans la rue. Tenter de retrouver mes esprits. Besoin de marcher, seule. Respirer l’air frais de la nuit. Revenir à la réalité. Attraper un taxi, rentrer chez moi. Retrouver mon mari, lui sourire, l’embrasser tendrement. Lui dire que je l’aime.