Colocataires
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
init,
coupfoudr,
... inexpérience. Tu seras ma première expérience. J’apprécie ton offrande. Merci. Ma langue fouilla la vulve ouverte et je ressentis autour de mon pénis la chaleur des lèvres de la femme. Nos bouches à l’unisson parcouraient les lieux, faisaient frissonner nos corps échauffés. Et nous nous sommes remis en tête à tête, nos yeux continuaient à scruter nos âmes, à se persuader que nous étions bien décidés à donner et à prendre. Mathilde s’était couchée sur le dos, avait écarté ses genoux et m’avait attiré sur elle. De la main qui enserrait ma verge, elle m’amena aux portes du paradis : — Fais doucement, s’il te plaît. Tu dois pousser pour percer mon hymen. Rien ne presse, en douceur. Je poussais avec précaution. L’entrée humide et chaude était étroite et élastique. Je poussais encore. Mathilde m’encourageait du regard et de la voix — Oui, maintenant, pousse plus fort. Je m’arc-boutai vers la cible qui se soulevait vers moi et soudain m’enfonçai en arrachant un gémissement à la fille qui était tendue dans son effort pour me rencontrer. J’avais gagné quelques centimètres seulement, je m’arrêtai. Un instant de repos était nécessaire. Par à-coups, je finis le parcours et nous nous sommes heurtés, pubis contre pubis, entièrement imbriqués et immobiles. Enfin, d’instinct, nous avons entrepris ces mouvements de va-et-vient qui entretiennent l’union des sexes. La lente ascension vers le plaisir était marquée de pauses, nous reprenions notre souffle, nos bouches se mordillaient, nos mains ...
... saisissaient des muscles, caressaient inlassables un sein, une fesse, les doigts s’attardaient dans les creux, nos corps voulaient se confondre. — Encore, plus fort, prends-moi, je viens, aahhah !— Moi aussi. J’étais maintenu au fond du vagin, secoué de frissons, par deux mains qui me pressaient les reins et me sentis à mon tour partir en saccades dans le volcan en éruption. Tout était accompli et nous lisions notre plaisir réciproque sur le visage aimé. Nous étions bien, l’un dans l’autre et nul ne cherchait à se dérober. Nous restâmes longtemps dans cette position avant de nous désunir. Mathilde avait pris la précaution de recouvrir d’une serviette éponge le drap. Le sang de la vierge fut ainsi recueilli. Nous avions tout l’après-midi. Après une toilette sous la douche où nous avons continué à nous toucher, chatouiller, embrasser amoureusement, nous avons repris nos ébats amoureux. Le charme de la découverte l’emportait sur la recherche d’acrobaties. Nous étions amoureux, point n’était besoin de complications, d’excentricités. Nous serrer l’un contre l’autre, nous regarder, nous pénétrer avec tendresse satisfaisait nos sens étonnés. C’était chaud, tendre, rassurant de s’entendre aussi simplement. Quand après un nouvel assaut, nous connaissions encore un orgasme, nous pensions qu’il ne pouvait exister de bonheur plus grand que de nous embrasser et de plonger nos yeux dans les yeux de l’autre ou de nous répéter des « je t’aime » sans fin. Au petit matin, j’abandonnai à regret ...