1. Un jour, Lara


    Datte: 12/07/2018, Catégories: hplusag, hotel, telnet, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... Lara est trop prude pour la nudité intégrale en public, même en privé à ce qu’elle m’a raconté. Aujourd’hui est l’exception qui confirme la règle. Afin d’être plus opérationnelle, elle s’est mise légèrement de biais. Heureuse idée qui me donne une vue imprenable sur ses jambes, surtout la gauche. Comme ça que j’ai vu qu’elle avait gardé ses dim-up. Lors de nos discussions sur Yahoo, elle m’a avoué que dans son adolescence elle avait suivi des cours de danse. Sa musculature fine et déliée soulignée par les bas montre que son corps en a conservé le profit. Chuis sans doute d’un autre temps, mais des jambes gainées même de soie artificielle, ça me fait bander. Pas besoin de penser à Fernande. Quand en plus, y a une bouche débutante, mais désireuse d’apprendre qui vous fourbit l’arme du crime… Lara doit sentir le changement. Sa tête se redresse. Elle contemple son œuvre puis son regard dévie vers moi. — Tu es réveillé, mon chéri ?— Oui mon chaton. Mais t’en fais pas pour moi, continue tes gammes.— Tu aimes ?— C’est à Popaul qui faut que tu d’mandes ! En fille obéissante, elle va immédiatement chercher une réponse à la source. Popaul, pour toute réponse, se contente de baver. Pas rebutée pour autant, Lara, d’une langue agile, soulage mon méat à moi de ces quelques gouttes inopportunes, et, pour plus de sûreté, lèche le gland entier. Pour assurer définitivement son asséchage, elle parcourt le membre sur toute sa longueur. Arrivée à la base de ma bite, elle gobe mes couilles ...
    ... velues. Je renverse la situation et Lara par la même occasion. Sur le côté, tête bêche, elle peut toujours tutoyer Popaul d’une main sûre, me bouffer les couilles, voire envoyer un doigt fripon en reconnaissance un peu plus bas. Elle ne s’en prive pas. Mon troufignon (non, pas le coureur cycliste) frétille sous le chatouillis de ses faux ongles manucurés. Quittant ma queue, sa petite menotte tente d’empaumer mes grosses couilles. Sa bouche la remplace sur ma queue. Bouche pourtant pas étroite sur pas si gros gland que ça. Compliqué d’ouvrir suffisamment celle-ci pour recevoir une bite quand c’est la première. Une cuillère pour maman, une cuillère pour papa. Attendrissants, les efforts qu’elle fait pour y parvenir. On reconnaît la débutante. Quand on a la volonté, on peut tout… Quelques déglutissements plus tard, le gland passe. Et quand le gland va, tout va ! Ce n’est plus qu’une question de profondeur. Son clito se dresse à quelques tout petits centimètres de ma bouche. Bien décalotté, la larme à l’œil - larme que j’efface d’un léger coup d’index - il jaillit avec élégance d’une toison aussi bien entretenue que le gazon de ma voisine, une vieille anglaise. Mes yeux sont nettement insuffisants pour satisfaire mes envies. Les centimètres deviennent millimètres. Les millimètres deviennent… Ben rien du tout car mes lèvres disjointes coiffent l’extrémité du bonhomme décapuchonné puis l’absorbe entièrement. Ma langue, espiègle, titille la fente pleurnicheuse, essaie de s’y insinuer. Les ...
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