Un jour, Lara
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
hplusag,
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Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
... bite. Je coulisse en elle sans aucune gêne, tant son connet est dilaté et lubrifié, à un rythme de plus en plus élevé. Finis les chemins de traverse sentimentaux, nous sommes au cœur du sujet. Je la masturbe avec la même fougue que je la baise. Les tressautements de son clito annoncent une proche issue. J’accélère encore ! Attention à ne pas couler une bielle avant la ligne ! Faire des phrases, plus possible ! Des étoiles ! Flip flop ! Flip flop ! Flip flop… Ton clito crache son divin venin… Ma bite déverse sa semence. J’en ai plein les mains… T’en as plein le vagin. Mais je continue… Mais je continue. Mais je persévère. Ses coups de cul indiquent la même volonté. Quand, enfin, mon index a essuyé sa dernière goutte, quand son cul a absorbé ma dernière goutte, nous nous affalons sur le lit, groggy. Nous nous endormons dans cette position. Ma bite toute flapie dans son cul trempé, son clito ramolli dans ma main poisseuse. Fin du premier round. Turn out the lights. ******************** Je dors peu. Je suis réveillé par des gouzis-gouzis sur Popaul. Je devine une bouche active. Cette petite coquine de Lara le lèche consciencieusement. Vraiment une gentille petite femme d’intérieur qui n’attend pas que les taches sèchent avant de nettoyer. Avec l’emballement de la jeunesse, elle se livre à un décrassage complet de mon service trois pièces. La troussée express qu’elle vient de vivre a levé ses inhibitions. Je me vote à l’unanimité plus une voix, un satisfecit. Pour qu’elle mette ...
... tant d’ardeur à réanimer Popaul, il faut croire que son dépucelage ne l’a pas traumatisée. Elle broute ma biroute et mes boules comme si elle n’avait fait que ça toute sa vie. Vite un vit ! Le mien reprend vie doucettement. Faut pas le brusquer. J’ai plus vingt ans et un peu de retard à l’allumage. Mais j’apprécie l’intention. Je l’encourage même en caressant sa tête blonde. Ma jeune maîtresse - ben oui un peu plus de trente ans nous séparent - a une chevelure magnifique. Pas une perruque minable, mais de vrais cheveux, blonds, qu’une copine coiffeuse entretient avec amour (amour qui n’est pas payé de retour). Popaul reprend des couleurs et du volume par la même occasion. C’est pas encore le pic du Midi, mais ce n’est plus Jo l’escargot. J’entrouvre un œil. La luminosité a changé. Turn up the lights. Ma petite amoureuse avait envie de « voir », elle a éclairé les appliques. Elle est agenouillée entre mes jambes, la croupe en l’air. Tiens, dans le feu de l’action j’ai oublié ses bas. La laissant à ses caresses buccales, je prends le temps de l’observer. Depuis deux ans que dure notre aventure sur la toile, je n’ai jamais pu la mater qu’au travers de sa cam (bonjour la qualité) ou des photos-montages qu’elle m’envoyait. Elle doit, malgré son jeune âge, idolâtrer David Hamilton, vu la constance avec laquelle elle usait du flou artistique. Son dos uniformément bronzé, sa taille de guêpe, la tache blanche incongrue d’un derrière qui n’a jamais connu le soleil. Dans son quotidien, ...