1. Un jour, Lara


    Datte: 12/07/2018, Catégories: hplusag, hotel, telnet, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... sensation ! Corps qui découvrent leur réciproque chaleur. Respirations en synchronie. Cœurs qui cognent en harmonie. Étrange sentiment de béatitude. Aussi poignant que le 785ème épisode des «Feux de l’Amour» quand Brenda s’aperçoit qu’elle a des fuites urinaires. Je me sens très con de ressentir de telles émotions, et un peu plus jeune aussi. Nos corps/cœurs se sont reconnus, se sont trouvés. Le fil savamment, patiemment tissé sur la toile, soudain, s’est matérialisé. Nous savons, l’un comme l’autre, qu’aujourd’hui nous allons en éprouver la solidité. Inch Allah ! Un pas immense vient d’être franchi. Peu à peu, l’étau qui me broie le cœur et les tripes se relâche. De son côté, je sens son corps se décontracter, sa peau redevenir souple. Ma main abandonne ses cheveux, je cueille son menton entre deux doigts et amène, avec douceur, sa bouche à la rencontre de la mienne. Contact de nos lèvres ! Décharge électrique ! De Funès dans «Le Gendarme de St Tropez» quand il embrasse sa belle ! Frisson qui se propage le long de ma colonne vertébrale ! C’mon, Baby Light my Fire ! Lèvres sèches d’angoisse, de désir, d’attente. Délicatesse de son rouge à lèvres. Lèvres s’entrouvrent. Les extrémités de nos langues se saluent. Je donne ma langue au chat. Nos mains jouent dans nos cous, nos cheveux. Massage de nuque relaxant. Étrange baiser langoureux, tendre, dénué de toute agressivité, de tout désir de possession. Besoin d’une tendresse rassurante, nécessité de se reconnaître, de retrouver ...
    ... cette virtuelle tendre complicité. Yeux fermés, je me livre entièrement aux sensations neuves qui m’assaillent : effluves de son parfum, tressaillement de son corps contre le mien, tacapoum de son cœur contre ma poitrine, crissement de ses cheveux sous mes doigts. Vertige de l’amour… Progressivement, ses lèvres se disjoignent libérant un étroit passage où ma langue prudemment s’introduit. L’humide fraîcheur de son palais chasse la sèche impression de mes lèvres. Sa langue, coquine, agaçante, tourne autour de la mienne. Nos lèvres se soudent dans un baiser plus passionné. La chaleur grimpe de plusieurs degrés. Nos corps se relâchent totalement, nos torses s’emboîtent. L’angoisse disparaît définitivement pour laisser place à de plus agréables émotions. Ma dextre, libérée, réalise un rêve ancien, elle se pose sur ses fesses. La fermeté suggérée à travers les photos est confirmée par la réalité. Promenade découverte sur cuir lissé. Les contours, si bien dessinés par l’étoffe tendue, de son si réellement beau petit cul. Doucement, j’attire son bassin contre le mien. Good Vibrations ! Son sexe, bien qu’étroitement prisonnier de la jupe, la déforme. Sa voluminosité pèse contre Popaul. Lui aussi rencontre quelques difficultés à rester tranquille dans son slip. Malgré ce désir, qui, comme la petite bête, monte, monte, monte, nous sommes très loin de la joute sexuelle. L’émotion la plus intense ne vient pas de ma queue, mais de beaucoup plus haut. Il est facile de raconter une scène de ...
«1...345...14»