Un jour, Lara
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
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Transexuels
Oral
hdanus,
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... sexe pure et dure, il est beaucoup plus compliqué de raconter les émotions qui s’y mêlent (ou qui s’en mêlent, voire s’emmêlent) quand le sexe n’est plus seulement le sexe, mais aussi l’expression d’un sentiment, qu’il soit amoureux ou seulement l’expression d’un tendre attachement. Bien sûr, découvrir sous mes doigts la fermeté de son si sijolipetitcul, discerner sa raideur contre mon ventre déclenchent chez moi une excitation primale, animale des plus compréhensibles, mais cette excitation vient de plus loin. Provoquée, bien plus profondément, par des mois et des mois d’échanges, de séduction, de fantasmes. Et encore de plus loin et de plus profond, par la joie intense, de sentir son cœur battre, son corps s’alanguir, la peur l’abandonner, la confiance la posséder. Mes mains sur son cul, sa tige contre ma queue, c’est la concrétisation d’un long processus. Toutes ces pensées bouillonnent dans ma tête tandis que mes mains, il faut bien l’avouer, continuent leur reconnaissance tactile en douceur, en douceur et profondeur. Elles remontent maintenant le long de son dos ! Tiens, elle a mis un soutif ! Elles redescendent le long de ses hanches pour mieux revenir vers l’avant de sa poitrine. Ses hanches si féminines, perceptiblement évasées. Elles remontent les bonnets de son 85B. Très jeune fille comme il faut, elle s’abandonne à mes caresses, sans pour autant se laisser aller à prendre de chaudes initiatives. Ses bras, timides, restent, chastement, autour de mon cou. De ses ...
... longs doigts fins, elle masse tendrement ma nuque, jouant avec les cheveux fous qui la recouvrent, mais sans jamais s’égarer plus en avant. Dans cette pénombre complice, je repousse légèrement le haut de son corps afin d’avoir un accès plus facile à sa poitrine. Je pétris celle-ci à travers son boléro en insistant sur ses tétons que mes doigts sont parvenus à capturer. Ma queue, en complète érection, se frotte contre sa tige qui semble accueillir ces approches d’une raideur très favorable. Il faut absolument que je me reprenne sinon, je vais inonder mon slip prématurément. Et ce n’est pas du tout ce que je désire. Avec une précautionneuse volonté, je me détache de son étreinte sans interrompre notre baiser hollywoodien. Mes mains courent dans son dos, sur ses épaules, les dégageant insidieusement de leur sombre gangue. Exit le gilet. No problemo pour remonter le boléro à la mince étoffe facilement extensible le long de son torse à la peau si soyeuse. Plus dur pour mes grosses paluches de dégrafer le dérisoire soutif aux minces attaches. Découvrir sa poitrine. La contempler en direct live. Celle-là même qu’elle a eu tant de mal à dévoiler face à la cam. Trop honte de ses œufs sur le plat. Un an de patience, avant qu’elle accepte de les montrer. À tort ! Voir de mes yeux, ces deux discrètes proéminences lisses coiffées à leur cime de ces deux mirifiques fraises des bois… Lorsque mes mains, parvenues à mi-bras, découvrent enfin ces deux joyaux de sa couronne, le chronomètre ...