Un jour, Lara - Histoires de Sexe

Un jour, Lara

... complètement libérée. Je ne sais pas comment elle fait pour me débarrasser de mes boots et du reste, mais je me retrouve à poil devant elle, Popaul (le mien) au garde à vous dans sa main gauche, sa main droite qui joue aux boules (les miennes) et ses lèvres toujours absorbées/absorbant mes tétins érigés. Je me dégage brutalement la laissant indécise, inquiète, déconcertée devant ce brutal abandon. Je cafouille : — Je suis désolé, Maeva ! Mais je suis… tu me… enfin, j’allais jouir comme un con ! Chuis nul !— Mais non, Jef ! T’es pas tout seul, moi aussi, je suis très excitée ! Je n’étais pas très loin non plus du grand saut. Se débarrassant de ses escarpins, elle s’allonge sur le lit. Je remarque que, en femme soigneuse, elle l’a ouvert, repliant soigneusement le couvre-lit. Avec une œillade moqueuse, elle me lance : — Tu montes, Chéri ? Sur le lit, bien sûr ! Message qu’il est totalement inutile de me répéter. En moins de temps qu’il faut à un éjaculateur précoce pour faire son affaire, je suis à ses côtés. — Lara, mon cœur, ne trouves-tu pas anormal que je sois entièrement à poil et que tu sois encore habillée ?— Habillée ?— Ben oui ! Tu as encore ton string et tes bas. String qui ne te sert plus à grand chose si je me fie à ce que je vois. Ton gros clito que j’ai dégagé tout à l’heure, dressé comme il est, aurait bien du mal à se planquer de nouveau derrière les deux centimètres carrés de ton string.— Déshabillez-moi, tout de suite, très vite, Jef chéri. Mettant toute la ...

... douceur et la sensualité dont je suis capable, je fais glisser dans une lente caresse son petit bout de dentelles le long de ses jambes fuselées. Les bas crissent sous mes doigts. — Que tes jambes sont longues, my love !— C’est pour que tu mettes du temps pour ôter ma petite culotte, mon chéri !— Quelle douce sensation me procurent tes bas, my love !— C’est pour mieux retenir tes mains, mon chéri !— Que tu as de jolis petons, ma Valentine !— C’est pour que tu aies envie de les baiser, mon Fernand ! Il suffit de demander ! Je dépose de minis mimis mouillés sur ses mignons petits petons. Je retrouve l’agréable sensation procurée par ses lèvres sur la soie synthétique des bas. Avec une lenteur calculée, ma bouche, de baiser en baiser, remonte le long de sa cheville, de ses jambes pour arriver jusqu’à… Avec une certaine perversité, j’évite les centres de sa féminité embrassant l’extérieur de ses cuisses. Sur ma lancée, je goûte à son ventre, à ses seins, à son cou pour finir mon odyssée sur sa bouche. Alors que nos lèvres se joignent pour la seconde fois, nous nous enlaçons dans une tendre étreinte. Oh Lord ! What’s happened to me ? J’suis sur quelle planète ! Étrange émotion ! Nos corps se complètent, s’amalgament ! Faut pas déconner, Bébé ! Hey, j’suis quand même venu pour baiser ! C’est quoi c’truc qui m’envahit ! C’truc gluant, niaiseux ! C’est quoi ces mots qui viennent dans ma bouche et que je susurre à son oreille ! Et elle, qui ronronne sous mes mots caresses, mes mots ...