Un jour, Lara
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
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Oral
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... s’arrête, le temps suspend son vol, les heures propices retournent en cours et Alphonse tombe dans le lac. Une mouche qui traverse la chambre en arrête de battre des ailes et tombe en vrille sur la moquette pas très nette. Au diable Jane (Fonda), Marilyn, Pamela, Naomi, Angelina, et les autres… Elles n’ont que de stupides mamelles, souvent gonflées au silicone, comparées à ces deux petites merveilles que je peux enfin admirer, que je vais enfin pouvoir toucher, que je vais enfin pouvoir goûter. — Pas un jour, Lara chérie, sans que je ne pense à tes seins ! Ce sont les plus merveilleux que je n’aie jamais vus !— Arrête de te moquer ! Je t’en prie ! Tu sais bien que…— Je t’assure, my love, ces fines aréoles brunes surmontées par de si mignons tétons ! Huum ! J’en ferais bien mon quatre heures !— Vilain flatteur ! La vérité, c’est que tu n’en as pas vus beaucoup ! Je ne peux pas répondre à son impertinence car mes lèvres dénuées de toute volonté sont déjà en train de goûter à ses petits fruits rouges. Alternativement, droite, gauche, ils subissent des succions appuyées. Pas de jaloux. Ma langue, s’en mêlant, léchouille l’extrême extrémité des pointes érectiles. Je poursuis mon entreprise d’effeuillage. Son haut disparaît du paysage. Je suppose qu’il a dû atterrir quelque part sur le lit ou ailleurs. Le soutif suit le même chemin. Son torse enfin à nu ! Que je ne contemple pas, tant je suis occupé, de ma bouche, à réjouir ses nénés et à évacuer sa jupette par le bas… Avec ...
... toujours la même complaisance complice, elle accompagne mes avancées, me facilitant la tâche. Sans plus ! Si je ne sentais la légère accélération de sa respiration, ses tremblements incontrôlés et surtout le bourgeonnement de sa tige, je pourrais penser qu’elle est indifférente à mes caresses. Sa jupe rejoint le reste de ses oripeaux… quelque part dans la chambrette. En string, en bas et en talon… Mes yeux se sont habitués à la semi-obscurité. Enfin je peux distinguer plus qu’une ombre. Je découvre son corps libéré de tout artifice. Ce corps gracile si féminin, si lisse. Cette peau uniformément couleur de pêche barrée d’un triangle noir que déforme une protubérance conséquente. D’abord, elle a un mouvement de crispation, de recul puis elle relève la tête. En quelques secondes muettes, en faisceau d’ondes concentrées, tout passe de l’un à l’autre… Son visage grave s’éclaire d’un début de sourire et de sa bouche, soulagée, libérée, s’échappe : — Ouf ! Ses mains, à leur tour, s’échappent et empoignent ma veste qui s’envole pour une destination inconnue. Dans le même mouvement, elle s’attaque à mon t-shirt. À peine le temps de respirer que déjà, il passe au-dessus de ma tête et atterrit… ben en fait, je ne sais pas où car sa bouche a déjà absorbé mon téton droit, sa main gauche s’acharne sur la boucle de mon ceinturon, boucle qui ne résiste guère… Alors ce qu’est devenu mon t-shirt est le cadet de mes soucis. Every little thing you do is magic. De la folie, cet échange de regards l’a ...