1. Deux plus deux


    Datte: 22/07/2018, Catégories: f, h, fh, hh, couple, douche, telnet, amour, cérébral, noculotte, Masturbation fsodo,

    ... pas, toi ?— Euh… je dirais que ça me trouble beaucoup. À cet instant de la conversation, Caroline changea brusquement de sujet. Visiblement, cela la gênait. Nous nous mîmes à parler de l’organisation du déménagement prévu pour dans trois semaines. Puis, après quelques mots tendres, nous nous souhaitâmes bonne nuit. Resté seul dans ma chambre, je me repassai la conversation ; je n’arrivais pas à comprendre pourquoi Caroline avait coupé court au sujet de Julien et Véronique. Je ressentais en elle une gêne que je ne lui connaissais pas. En y repensant, nous n’avions jamais été très portés sur le sexe, et c’étaient des sujets que nous n’abordions que rarement. Je dus me rendre à l’évidence que je ne savais pas grand-chose des fantasmes ou des blocages de la femme qui partageait ma vie depuis plus de 15 ans. J’en éprouvais un grand regret. Je sortis pour aller aux toilettes. Devant la chambre de Julien et Véronique, je marquai une pause inconsciente et tendis l’oreille. Comme j’aurais dû m’y attendre, des soupirs s’échappaient à travers la porte. Je n’en revenais pas de leur appétit sexuel inépuisable. En comparaison, ma vie intime était d’une platitude morne : une petite branlette de temps en temps, un coït le dimanche soir, lorsqu’il n’était pas remplacé par une sortie en ville. Et pourtant, ce n’était pas faute d’avoir une femme attirante… Simplement le temps nous faisait défaut. Eux semblaient avoir tout leur temps… à passer à s’aimer. À mon corps défendant, je tendis ...
    ... l’oreille. J’entendis des chuchotements. C’était Véronique. Je distinguai à peine ce qu’elle disait. — Vas-y doucement mon chéri. Prends ton temps…— Ne t’inquiète pas, tu sais que je ne vais pas te brusquer. Regarde… S’ensuivit un bruit de succion, et des gémissements plus appuyés de Véronique. — Mmmm, c’est bon, fit-elle à mi-voix, cette fois bien distinctement. Continue comme ça. J’adore ta langue sur mon petit trou, ça me rend folle. Elle poussait maintenant des petits couinements de souris. Je l’imaginais à quatre pattes, Julien dans son dos, le visage disparaissant entre ses deux superbes fesses… Vision insoutenable. — Oui, tu peux venir maintenant. Mais va doucement mon chéri. Ta bite est si grosse. Mmmm. Oh lala oui. Continue comme ça. Oh ! je te sens. Je te sens en moi ! Comme tu es gros, mon amour. Oh, tu me défonces. Oh, c’est bon ! C’est bon ! Ooooooh. Je devinais la scène aussi distinctement que si elle se déroulait sous mes yeux. Véronique rugissait réellement de plaisir. Lançant de temps à autre un petit juron obscène tandis que le gros membre viril allait et venait dans son joli cul. Entre mes jambes, mon membre vibrait d’excitation. Ne voulant pas faire de bruit, je me réfugiai dans ma chambre où les cris de Véronique parvenaient sans obstacle. Mon téléphone vibra. Un SMS de Caroline Puis quelques autres SMS d’adieu. Et la conversation prit fin. ********** Le lendemain matin, je me réveillai le corps encore vibrant de mon échange virtuel de la veille avec Caroline. ...
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