1. Les émois de Valériane - 2/3


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, hplusag, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    ... plutôt ici vers vingt heures, nous ne serons pas dérangés par le téléphone. Je quitte la mairie passablement égayée, émoustillée d’ailleurs aussi. Je me souviens que notre bon maire n’était pas, au restaurant, le dernier à gratifier mon fessier d’aimables tapes flatteuses. Si ses gaillardises m’ont réellement attisée, je m’en suis surtout trouvée honorée. Il est bel homme et nombre de femmes le courtisent discrètement, il serait plaisant d’obtenir la préséance. Que dira mon père quand je lui ferai part des empressements lubriques de son ami Albin ? Et puis non, il vaut peut-être mieux rester muette au sujet de ces incidents, et après tout ce qu’Albin veut, je ne saurai le refuser à monsieur le maire. J’ai tiré un plaisir bien innocent de mon petit jeu et décide donc de récidiver. Ce samedi soir, c’est dans la tenue offerte par Georges que j’arrive à la mairie, bâtiment sombre et sinistre dont la seule fenêtre éclairée est celle de monsieur le maire. Je pousse le lourd battant qui s’ouvre en grinçant et gravis l’escalier dans l’obscurité. La porte de son secrétariat est béante et je n’hésite pas à entrer. De celle du bureau d’Albin, entrebâillée, filtre un flot de lumière et une plainte gutturale. Je m’approche et risque un œil. Orianne sa jeune secrétaire – que je tenais hier encore pour véritable oie blanche – est accroupie, le buste totalement dénudé et monsieur le maire, le pantalon sur les chevilles se fait masser la verge entre des seins plantureux qu’elle étreint de ...
    ... ses deux mains. De temps à autre, elle happe furtivement le gland écarlate et l’accompagne une fraction de seconde dans sa cavalcade en semblant s’en régaler. La scène me fascine mais c’est surtout les regards des protagonistes qui captent d’abord mon attention. Le sien, hagard, absorbé par les ors du plafond, l’autre, celui de la blonde à ses pieds, interrogateur, levé vers son visage et tentant d’y lire les allégresses dont elle essaye de le gratifier. Elle y conjugue supplication et adoration, ce qui d’évidence échappe au butor. Il est hors de doute qu’elle n’accomplit pas un simple geste professionnel ou administratif mais est amoureuse de son patron. Je suis médusée par le mouvement de la roide colonne entre les globes laiteux, me laisse hypnotiser par le spectacle de ce sceptre dressé et autoritaire tyrannisant cette moelleuse douceur. Je ne me retiens plus et, relevant ma robe, je glisse une main électrisée dans mon antre secret. Je le fourbis au rythme de leurs ahanements et bientôt m’écoule en chaude langueur. Eux aussi ne sont plus très éloignés de l’explosion. J’en suis piquée au vif et ne souhaite pas que mon magistrat émousse ainsi ses fougues avant de m’avoir admirée, s’adonne à un plaisir subalterne, précédant les charmes de notre rencontre au risque d’y être moins réceptif. Je me retire sur la pointe des pieds, mais dans les ténèbres de la pièce, encore toute éblouie (dans les deux sens du terme) par ce qui vient de se dérouler sous mes yeux, je heurte un siège ...
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