1. Les émois de Valériane - 2/3


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, hplusag, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    ... qui se renverse, heureusement sur la moquette et donc sans faire trop de bruit. Sur le palier, je referme la porte du secrétariat avant d’y tambouriner allègrement. Quelques brèves secondes plus tard, j’entends sa voix de stentor : — Entrez donc Valérie, un court instant et je suis à vous ! Comme tu es à Orianne, ne puis-je m’empêcher de médire en mon for intérieur. Je pénètre dans le secrétariat toujours obscur. Il vient m’y chercher et m’accueille encore tout cramoisi par ses exploits et un peu décoiffé mais avec un immense sourire de bienvenue. Dans le fond de la pièce Orianne achève de se réajuster et cherche l’une de ses chaussures égarée au cours de la joute. Elle se retire enfin, l’air pas contente, pas contente du tout et grommelant un vague au revoir puis sort en claquant la porte. — Mais te voilà ce soir très en beauté, me dit-il dès que j’ai retiré mon manteau. Je présume que ces élégances ne me concernent en rien et que d’autres réjouissances t’attendent. Ah ! Il veut jouer les flatteurs eh bien, je vais lui en fournir l’occasion. — Vous imaginez tout juste, comment me trouvez-vous ? Lentement, j’effectue deux tours sur moi-même pointant outrageusement sous son nez, selon l’article de mon anatomie qui lui fait face, tantôt ma poitrine, tantôt mes fesses. Cet exercice, combiné au souvenir des visions émoustillantes dont je viens de profiter et renforcé par son air penaud et lascif, raffermit mes seins et comme j’ai omis le soutien-gorge, mes tétons accorts et ...
    ... excités ne sont pas loin de crever la toile. Une fois bien campée devant lui, je retrousse légèrement ma robe et lui demande : — J’ai de belles guiboles, n’est-ce pas ? Du rouge le voila passé au vermillon et je m’amuse tant de sa figure que je n’ose qu’à peine la fixer lorsqu’il me réplique : — Ce sont celles d’une jeune déesse qui fuit les simples et vieux mortels auxquels, hélas, j’appartiens. Je n’en ai jamais vu d’aussi belles. Avec un sourire malicieusement accusateur, je lui rétorque : — Même celles d’Orianne ?— Que vas-tu chercher ? bafouille-t-il d’abord, puis tout à coup, en me regardant dans les yeux, calmement, il se reprend :— Tu t’es régalée auparavant, petite vicieuse ? Je t’ai entendue ! L’attaque est la meilleure des défenses. Ainsi, moi qui espérais l’épingler me voici, à l’inverse de mes stratégies, en position d’accusée et je balbutie : — De quoi donc parlez-vous ? et pour m’enferrer, j’ajoute : je n’ai rien vu.— Et ce fard qui enlumine ton front et tes joues, cette tâche toute fraîche encore humide qui orne l’avant de ta robe, c’est l’effet du Saint-Esprit ? Non ! ma chère Valérie, tu t’es livrée à des activités fautives ce dont je vais devoir informer tes parents. En moi-même, je ricane, j’aimerais bien entendre monsieur le maire déclarer à mes parents que je le matais tandis qu’il se tapait Orianne ! Je n’en prends pas moins une mine dépitée et honteuse pour le supplier : — Oh, je vous en prie, ne faites pas cela. En même temps je me tortille, j’incline la ...
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