Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... deux tasses à café fumantes et un sucrier, s’engouffre dans la pièce. — J’ai pensé qu’un tonique revigorant serait bienvenu après une intense séance de travail.— Orianne… vous auriez dû attendre que je vous dise d’entrer, tonne Albin.— Croyez-vous vraiment qu’il vous reste quelque chose à me dissimuler, monsieur le maire ? répond-elle sans se démonter et sur un ton de bravade.— Même si c’était le cas en ce qui me concerne, il n’en va point ainsi pour mon hôte. Pour la première fois, l’effrontée semble me remarquer alors que, dans une posture périlleuse, je tente d’enfiler ma culotte sur la jambe qui en est dégagée. — Mademoiselle appréciera peut-être mon renfort, dit-elle, pas le moindre peu rancunière à mon égard, en se portant promptement à mon secours. Elle m’aide en effet en me maintenant puis cette opération achevée elle poursuit : attendez que je vous attache. J’ignore ce qu’elle veut exactement me signifier par ce raccourci saisissant, mais elle s’agenouille devant moi et farfouille sous ma robe pour y trouver successivement les jarretelles qu’elle tend et dans lesquelles elle vient coincer la soie du bas. Ce faisant, elle m’offre une vue splendide dans son décolleté et sur son poitrail, qu’à mon égal elle n’étaye pas d’un inutile soutien tant il est ferme. Son visage est à hauteur de mon sexe qu’elle allume de son souffle chaud et puissant tandis qu’elle flaire mes remugles. — Ça sent bon, ça sent fort, ça sens la baise, commente-t-elle, dans sa langue un peu fruste. ...
... Monsieur le maire, pendant cette scène, est si dépassé qu’il en oublie de se rhabiller. Orianne nous quitte enfin, avec autant de fracas qu’elle est venue. Albin toujours torse nu s’effondre sur son trône de premier magistrat et menace : — L’impertinente, je lui revaudrai ça ! Puis il entame une longue tirade en laquelle il égrène son repentir : il n’a pas voulu, il ne faut pas que je me méprenne, il a beaucoup de respect pour les femmes et pour moi davantage encore. Mais je suis trop belle et il m’aime bien, depuis toujours – je sais, mes fesses s’en souviennent – je suis trop belle et il en a perdu la tête, lui qui est si seul – il en oublie déjà Orianne. Oui, je suis trop belle, un ange de candeur dans ce monde de noirceur dont il veut me protéger – il s’y prend d’étrange façon – je suis trop belle et il a méjugé mes intentions – mais pas du tout – je suis trop belle et s’il n’était la différence d’âge, il pourrait m’aimer, d’ailleurs c’est ce qu’il fait en toute honnêteté – ah ! l’honnêteté est un mot très insolite chez les politiques – je suis trop belle et j’ai enflammé ses songes tout au long de la dernière nuit… Je l’interromps car j’ai l’impression que cela pourrait s’éterniser : — Finissez donc Albin sans quoi mes chevilles vont tant grossir que j’en serai difforme et dépourvue du moindre attrait. Et cessez de mentir, vous m’aviez tendu un piège et pour partie, j’y suis tombée. Lui cependant repart, plus disert que jamais : — Je te le jure Valérie, je t’aime comme ...