Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... une fille et peut-être un peu mieux ou un peu différemment mais là je me suis laissé emporter à des extrémités que je ne souhaitais pas. Il a l’air sincère. Il est curieux de voir combien les hommes savent s’abuser eux-mêmes et la conviction qu’ils y mettent. C’en est si cocasse que je m’enthousiasme presque à écouter ce qu’il me débite maintenant. — Oui, j’avoue avoir eu dès hier très envie de te serrer dans mes bras pour déposer sur ton front un baiser affectueux et paternel. Mais qu’est-ce donc qui te pousse à te vêtir ainsi, il y a de quoi inciter un saint au viol ! C’est vrai, j’admire ta jeunesse et ta chaleur, tes petits seins si mignons, toutefois tu as le diable au corps. Sentant qu’il va encore s’enliser, il change brusquement de registre. — Laisse-moi ton dossier, je l’examinerai à tête reposée et si tu acceptes, je t’en fournirai conclusion demain à la même heure ?— Avec ou sans Orianne, ne puis-je m’interdire d’ironiser.— Soit aussi gentille que belle et ne te moque pas abusivement de mes pusillanimités. Il me raccompagne jusqu’au perron de la mairie et veut m’embrasser sur les deux joues mais libertine comme je sais l’être désormais, à la seconde accolade, je fais glisser mes lèvres sur sa bouche. Et devinez… il est bien en peine de s’y soustraire et de résister. Le lendemain – premier courriel : — Non, ne venez pas. Second courriel trente minutes plus tard : — Si venez, dès quatorze heures à la mairie, je vous promets de rester sage mais j’ai des choses fort ...
... graves à vous communiquer. Votre dévoué Albin. C’est la troisième fois, au cours d’un unique week-end, que mes pas me mènent à la mairie et je me demande à présent si je n’en pince pas un peu pour monsieur le premier magistrat. Pour cette entrevue, je revêts une jupe noire, longue et très stricte, un chemisier saumon boutonné à ras du menton mais conserve des sous-vêtements coquins comme ceux que je portais la veille. Je redoute fort la rencontre d’Orianne et suis soulagée lorsque monsieur le maire m’accueille et que je n’en vois point trace ; normal, nous sommes dimanche. Albin, un brin penaud, affiche néanmoins une ferme détermination et rien ne semble devoir le détourner de notre travail. Cependant l’insistance qu’il met à ne point me regarder me laisse augurer de la fragilité de ses résolutions. Il veut me démontrer que des avanies de la veille, il ne saurait plus être question, qu’il ne m’en garde nulle rancune, en a effacé tout souvenir et surtout, qu’il sait se tenir auprès des dames. Il revient sur des détails dont il m’a déjà entretenue afin de me montrer l’évolution de ses positions sous l’influence de mes avis éclairés. Petit à petit, se rassurant sans doute au sujet de sa force de caractère, il se hasarde d’abord à me dévisager puis pousse jusqu’à me sourire. Il me conduit enfin à cette table où est déroulé le fameux plan qui fut le déclencheur, bien innocent, de notre équipée. Pour un peu, je m’inquiéterais de mes capacités de séduction. Je ne lui effleure alors ...