1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (5)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, copains, profélève, école, volupté, BDSM / Fétichisme Oral fsodo, journal,

    « Comment pourrais-je oublier, Madame, que vous avez joui sous mes caresses ? C’était le plus beau jour de ma vie. » « Etes-vous nue, aujourd’hui, sous votre robe ? » « Madame, me croirez-vous si je vous dis que, toute la nuit, j’ai couché avec le souvenir de notre étreinte ? » Ce ne sont là que quelques-uns des mots que, cette semaine, Stéphane s’est arrangé pour me communiquer en classe, toujours avec la plus extrême discrétion, car il est, par-dessus tout, fort bien élevé… Jeudi soir (23 septembre), n’y tenant plus, je l’ai de nouveau convoqué à la fin du cours. — Je ne sais pas si vous vous rendez compte, Stéphane, de ce que vous faites. Ce que nous faisons pour… la pièce de Franck est une chose, mais enfin, vous connaissez les termes de notre accord : cela ne doit pas déborder. Je tiens à séparer les domaines, Stéphane…— Séparer ? Je veux bien Madame. Mais jusqu’où ?— Que voulez-vous dire ? Stéphane se rapprocha à quelques centimètres de moi, ce qui me mit mal à l’aise. — Lorsque je vous ai enlacée, Madame, c’était votre corps ou une image ? Lorsque j’ai senti votre peau sous mes mains, c’était la vôtre ou celle d’une « comédienne » ?— Stéphane, je vous en prie…— Lorsque j’ai touché vos fesses, Madame, qui étaient nues sous votre robe, c’étaient peut-être celles d’un ectoplasme ? Cette fois-ci, il s’était collé à moi et je n’avais pas la force de reculer. Il me tenait par les hanches et me fixait dans les yeux. Il aurait peut-être suffi d’un rappel à l’ordre, d’un ...
    ... regard sévère pour qu’il batte en retraite, mais j’étais incapable de faire quoi que ce fût. Je sentais que je m’étais prise moi-même au piège, enfermée dans la gueule du loup… Il me saisit le visage, me força à le regarder en face, approcha ses lèvres des miennes : — Et quand j’ai senti votre désir de moi, Madame, lorsque j’ai senti couler votre désir de moi entre mes doigts, comme le torrent d’une rivière, est-ce que c’était un mirage…?— Non, Stéphane, c’est vrai, ce désir, ce n’était pas un mirage, c’était une oasis, une véritable oasis… Embrassez-moi… ! Embrassez-moi encore comme l’autre soir… ! Collée contre la porte, je sentis à nouveau ce corps dur et jeune plaqué contre ma chair qui, depuis l’autre soir, n’avait pu songer à lui qu’en rougissant. — Nous ne pouvons pas rester là, Stéphane… Imaginez que quelqu’un entre…— Il n’y a plus personne au lycée, vous le savez bien… J’ai envie de vous, Madame, ici, maintenant… !— Non, non, ça je ne peux pas… Si l’on nous surprenait nus, ici… Je risque ma place, Stéphane.— Ce n’est donc que cela qui vous arrête ? Jurez-le moi ! Qui étais-je à ce moment-là ? La comédienne, la prof, l’amante, ou une petite garce pleine de fièvre ? Toujours est-il que la réponse qui sortit de moi me surprit comme si une étrangère l’avait prononcée : « Je vais vous le jurer, mais à ma manière… », et ce disant, je passai ma main par-dessus sa braguette, éprouvant à chaque pression la forme rigide de son sexe. Depuis des jours, j’avais fantasmé sur ce sexe, ...
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