1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (5)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, copains, profélève, école, volupté, BDSM / Fétichisme Oral fsodo, journal,

    ... cette queue qui s’affolait à mon contact, que j’avais sentie tout contre moi l’autre soir et que je pouvais maintenant, pour la première fois, caresser à loisir. Stéphane avait compris : il avait posé ses mains sur mes épaules, et accompagnait mon corps qui descendait jusqu’à… J’ouvris la braguette en tremblant… Ici, dans ce lieu, me commettre avec un élève… Si quelqu’un entrait… Mais voilà, je ne fais pas ça pour Stéphane, je le sais bien, je fais ça pour moi, pour mettre fin à un désir qui me taraude… Même hier, quand j’ai fait l’amour avec mon mari, c’est à ça que je pensais. Mais le résultat passe mes espérances. La queue de Stéphane est énorme et belle. L’idée que je suis à l’origine de ce gonflement, de cette ivresse de son sexe, ravive en moi la fontaine… Je la caresse d’abord avec mes deux mains, je la sens vivre comme un animal, gonfler encore ; le gland est rouge, luisant, la peau est sombre. J’ai descendu entièrement le pantalon de Stéphane, pour jouir d’une vue plus complète de ce beau corps, de ces jambes d’athlète… Je délaisse un moment ce membre pour en explorer les contours… Je soupèse ces bourses que je sens pleines à craquer, je l’entends déjà qui respire de plus en plus fort. J’aime à passer mes mains sur ses fesses musclées et presque imberbes, dures comme tout le reste de ce corps tendu vers moi. Je caresse l’entrejambes. Le bougre n’a toujours pas débandé, il insiste… Sa verge pointe, dilatée, impatiente. Je me rapproche et je sens cette odeur mâle, ...
    ... saturée d’hormones et de vigueur. Cette odeur unique me pénètre et me soûle. Je pointe le bout de ma langue, malicieusement, j’effleure le gland pour attiser le désir… Je touche, je me retire, je lape furtivement, je me retire, une deuxième fois j’effleure la hampe avec ma bouche, et je me retire à nouveau. Il va devenir fou, il implore : « Oh, Madame, je vous en prie… ». Je continue la torture. Je porte à nouveau ma langue à son sexe, et cette fois je reste un peu plus longtemps : deux trois secondes ; je reviens pour lécher encore, déposant une salive abondante sur le sommet du gland. Aussitôt je fais machine arrière, il a peur, peur que j’arrête ; il me connaît mal. Si ces petits harcèlements le rendent fou, ils me tournent les sens à moi aussi. Je continue ce jeu, une, deux, dix fois. Je suis tout émue, mon slip est trempé, trempé ! Une idée : je passe ma main dans ma culotte, je caresse, éponge, enfouis mes doigts entre mes lèvres pour en recueillir l’incroyable lubrification… et aussitôt je la répands comme un onguent sur la queue tendue à rompre de mon élève… Premier contact imprévu et indirect de sa grosse queue et de mon sexe ! L’odeur de ma cyprine sur ce membre achève de me faire perdre le nord. Cette fois, goulûment, je happe cette jeune verge fougueuse : d’abord je m’attarde à garder le gland dans ma bouche, à en caresser la base avec ma langue, à en sentir la dilatation délectable ; puis, je l’enfouis de plus en plus profondément dans ma gorge. Je veux qu’il sente, ...
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