Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (5)
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
copains,
profélève,
école,
volupté,
BDSM / Fétichisme
Oral
fsodo,
journal,
... queue contre mon joli petit cul. Et maintenant ? Et maintenant ? La main de Franck commençait déjà à écarter mes fesses. Effrayée par mes propres désirs, je voulus me libérer. « Je ne peux pas, je ne peux pas… mon mari… seulement mon mari… » — Si vous ne pouvez pas, peut-être cela soulagerait-il votre conscience, votre pudeur, si vous aviez l’impression…— Je ne peux pas… Je ne veux pas…, continuai-je à marmonner sans y croire, tandis que ses doigts s’immisçaient toujours plus hardiment, flirtant outrageusement avec mon œillet, se risquant à des incursions de plus en plus hardies…— Si vous aviez l’impression d’y être… contrainte ? Vous me comprenez ? Stéphane, lui, avait compris. Il me tira avec lui vers le canapé, s’assit. Je me mis à genoux face à lui, penchai mon visage vers sa queue dont je m’emparai. Lui tenait fermement mes poignets, me donnant l’illusion nécessaire que j’étais prisonnière, que je n’avais pas le choix, que… Ooooh ! Il a osé ! Franck a osé ! Il est en moi, dans mon petit ...
... cul, il s’enfonce en moi et j’ai mal mais je suis captive, mais je suis captivée, Stéphane me tient, je n’y peux rien, je ne peux que sucer la queue de Stéphane et tendre mes fesses à Franck, serrer mes fesses sur la queue de Franck profondément entrée en moi, et pousse, et pousse, et plus rien ne l’arrête, il a violé mon sanctuaire et je n’en peux plus, je suis une sale putain qui se fait délicieusement enculer, qui a chaud, qui se pâme et qui aime sentir dans son cul gourmand le pieu dilaté de son élève, de son élève qui l’aime tout entière, qui la lève, la soulève, l’enlève, et la ravit, et cette belle queue dans ma bouche, d’un autre garçon à qui je me donne aussi, et je ne sais plus où je suis et qui ils sont, et après moi le déluge, le déluge et ohhh oui la libération soudain il n’a pas pu se retenir il s’est répandu en moi il s’est dilaté éclaté il est mort en moi de joie dans un cri rauque et je n’en peux plus et je ne suis plus rien qu’un néant qui s’abîme dans le désir de l’autre…