1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (5)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, copains, profélève, école, volupté, BDSM / Fétichisme Oral fsodo, journal,

    ... des paroles, faites comme vous sentez… improvisez !— Je crois que… ça commençait par quelque chose comme :« Tu vois mes pieds ? Tu les trouves jolis ? » Franck, pendant que je parlais, avais levé ma jambe droite qui reposait sur sa cuisse, pour porter la plante de mon pied à quelques centimètres de son visage. Mon Dieu, pourquoi ne se retenait-il pas, pourquoi m’infligeait-il pareil tourment ? Je sentais, sans me retourner, sa langue humide me faire tout le bien du monde, et je n’avais pas la force de l’interrompre. C’est lui qui eut la présence d’esprit de me relancer : tout en me baisotant, il me souffla : « Continuez, Valérie, la suite, la suite… » « Et mes seins, tu aimes mes seins ?… Tu les trouves jolis, mes seins ?, murmurai-je, en les protégeant, comme instinctivement, de mes deux mains. J’étais femme, en effet, je l’étais même de plus en plus, et c’était même de plus en plus inquiétant, parce que cette féminité commençait à me submerger, à me liquéfier, sous l’effet de ces déclarations vibrantes et juvéniles. Je poursuivis le jeu : Disant cela, tout en continuant à plonger son visage dans mes pieds, Franck avait placé sa main entre mes deux cuisses, caressant cette zone où la peau est plus chaude, plus fine, plus sensible. Stéphane, lui, n’en perdait pas une miette. Le spectacle allait commencer, je le pressentais, à devenir franchement indécent, et je n’avais plus aucun moyen de faire marche arrière. La main de Stéphane, à la fin de la tirade, était remontée très ...
    ... haut, soulevant une partie de ma nuisette. Je sentis qu’il hésitait, hésitait, n’attendait qu’un mot de moi, que je n’étais plus en mesure de lui refuser : Il releva entièrement ma nuisette sur mes reins, découvrant à lui-même et à son ami, pour la première fois, ce qu’ils n’avaient vu jusque-là qu’en transparence. Pas seulement mes fesses d’ailleurs, mais bien pire : dans la position où j’étais, ils ne pouvaient pas manquer de voir ce que Frédéric appelle affectueusement mon petit abricot : rose, appétissant, et, à ma grande confusion, luisant d’humidité. Cette vue devait les avoir figés de stupeur, car pendant quelques secondes, je ne les entendis plus. Mais bientôt je sentis la main de Franck reprendre son ouvrage, se posant d’abord sur mes fesses : mon ventre devint encore plus chaud, mes mains plus moites… N’entendant toujours rien, je répétai, les larmes aux yeux, comme dans un appel de détresse :« Et mes fesses, tu aimes mes fesses ? » Qu’il fasse cesser cette torture, cette attente ! Toujours pas un mot, mais je sentis sa main descendre le long de ma raie et atteindre aux régions obscures ; ses doigts coururent le long de mes lèvres, coulissèrent avec sadisme le long des parois détrempées, comme pour jouir de ma confusion. Soudain, Stéphane sortit de sa réserve. Oubliant de toute évidence que nous étions « au théâtre », il acheva de relever ma nuisette. Je ne me défendis plus : à quoi bon, puisque mon corps était passé aux aveux avant moi ? Consentante, je soulevai mon ...
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