J'ai seulement rêvé d'enfer...
Datte: 04/08/2018,
Catégories:
fh,
couple,
voyage,
volupté,
cérébral,
revede,
tutu,
... inquiétante, sortie du fond des âges, une voix de cristal finissent l’envoûtement. Tu pousses la porte. Le spectacle qui s’offre à toi te pétrifie. Un grand feu brûle dans une immense cheminée de marbre blanc, les murs sont habillés de velours rouge mais certains endroits dévoilent d’énormes pierres : « prison, forteresse de passion… ». Le bois craque sous les flammes, leurs lueurs dansantes lèchent doucement le voile moiré recouvrant le corps de celle qui t’attend. L’émotion te noue la gorge, ton sexe est de plus en plus dur, la sueur coule quelque part sur ton corps, pourtant la chaleur est douce, incitante. Tu t’approches sans bruit. Non loin de là, tu découvres les objets de plaisirs dont tu vas abuser. Ton sang pulse encore plus fort, tes couilles sont gonflées, ton sexe énorme, tes fesses se durcissent encore. Une bougie vacille éclairant soudain une chaussure transparente, des lacets brillants, une cheville brune, tendue. Ta main s’étire, tu dois savoir. Le grincement de la porte me paralyse, mon cœur va éclater, mon ventre est tendu, je ne sens plus ce qui se passe entre mes jambes, la torture est immense, mon clitoris est énorme, mes lèvres enflées, un liquide doux et chaud glisse entre mes cuisses, je sens que tu t’approches. J’entends tes vêtements tomber sur le sol, la boucle de ton jeans libérant l’objet de mes douleurs. Je ne sais pas si je vais tenir, si je vais m’évanouir de désir… Ta main me touche, mon Dieu, je vais mourir. Elle joue doucement avec les ...
... lacets, retire les sandales et se met à monter explorant chaque centimètre de peau, elle cherche une réponse, elle s’arrête entre mes cuisses. Tu t’es laissé emporter par la question qui te taraude. Que cette peau est douce, tu la caresses, la palpes mais tu dois savoir. Ta main s’arrête entre mes cuisses, ta réponse est bientôt là, tes doigts écartent légèrement la jolie fente que tu viens de découvrir et tu souris. « Elle est trempée, elle n’attendait que moi… » Tes doigts si doux caressant l’intérieur de ma chatte sont des brûlures. Ta main remonte sur mon ventre, ta bouche se pose sur le diamant de mon nombril entre les lacets de cuir, à travers le voile ta langue en épouse le pourtour. Tes deux mains encerclent ma taille, tu m’attires doucement sur le côté. J’ai reconnu ton odeur, je deviens folle de ce que ta peau dégage. Ta bouche remonte vers mes seins, les mamelons sont gonflés, les tétons pointés vers toi. Ta bouche en saisit un goulûment, ta langue passe et repasse sur ce petit bout sensible. Tu me fais gémir doucement. Ta langue remonte encore vers mon cou, s’attarde sur cette zone stratégique qui me fait vibrer, tu sens mes hanches se cambrer dans tes mains. Ta bouche, à travers le voile, frôle la mienne, ta langue caresse mes lèvres ouvertes doucement. Tu écartes légèrement le voile, découvrant ma bouche. Ton baiser me fait encore plus gémir, il devient profond, torride, mes jambes s’écartent doucement d’elles-mêmes, l’invite est trop puissante…. Tu ne penses plus, ...