1. L'animal qui est en toi


    Datte: 05/08/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj,

    ... le même état. Quand nous arrivons à la chambre, elle se colle à moi et m’embrasse goulûment. — Demande-moi ce que tu veux, j’ai très envie… À ce moment précis, deux idées me passent par la tête. Alors, ne sachant laquelle des deux choisir, un peu comme elle l’avait fait au tout début de cette histoire, je lui fais le signe T du basket. — Qu’y a-t-il ? demande-t-elle, inquiète.— Oh, rien… Je ne sais pas quelle suite donner à cette aventure. Tu préfères la jouer tendresse ou continuer de jouer avec nos petits animaux personnels ? Elle sourit. — Moi, personnellement, je sais exactement ce que je veux, tu le sauras demain. Mais aujourd’hui tu es le maître du jeu. Je te rappelle que quand nous serons de retour à la boutique, tout s’arrêtera, alors ne te pose pas de questions… C’est pourtant bien le genre de détail que je ne risque pas d’oublier. — Hier, je me suis conduite comme une cochonne et j’en suis fière. Pourtant, je t’assure que jamais, jamais, jamais je n’en avais fait ne serait-ce que le quart auparavant. Fais comme moi, profite de l’instant présent.— D’accord… Bon, pour commencer, déshabille-toi. De la façon dont elle me regarde, tout en se mordant légèrement les lèvres, je comprends qu’elle n’est pas contre ce que je viens de lui demander mais qu’elle aimerait bien que la demande soit faite différemment. — À poil, salope. Et tout de suite. De toute évidence et aussi surprenant que ce soit, c’est exactement ce qu’elle avait envie d’entendre, et son regard s’illumine. ...
    ... Alors, elle se met au milieu de la pièce et, sans s’occuper de ce que les rideaux soient ouverts et qu’elle pourrait très bien être vue – il n’y a pas de vis-à-vis, mais tout de même – elle commence à se dévêtir. Le tee-shirt laisse apparaître une poitrine visiblement à l’étroit dans un haut de maillot blanc, les pointes de ses seins marquent outrageusement le tissu, puis c’est au jean de tomber sur le sol. Ensuite, en prenant son temps, elle dénoue lentement les cordons du maillot, et sa délicieuse touffe rousse se dévoile à mes yeux. Son regard vrillé dans le mien, les mains sur les hanches, fière de se montrer à moi, elle est proprement ravissante. — L’autre nuit, je t’avais dit que tu n’oserais pas te faire jouir, et j’avais raison. Là, tu vas aller te branler sur le lit, et je veux t’entendre crier. Exécution. Visiblement, ma requête l’intrigue, elle a même l’air un peu déçue. Cependant, c’est sans discuter qu’elle va s’allonger sur le lit, tandis que, pendant ce temps, je prends une chaise sur laquelle je m’assois à l’envers, face au lit. Les coudes appuyés sur le dossier, je l’attends de pied ferme. Alors qu’elle est déjà en pleine action – il faut dire qu’elle était déjà trempée au moment où elle a retiré son bas de maillot et ses doigts vont et viennent dans sa chatte sans rencontrer la moindre résistance – tandis qu’elle titille son clitoris tout en me regardant fixement, je l’arrête. — Tu continues jusqu’à ce que je te fasse signe. Je compte sur toi, ça fait partie ...
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