Une journée sur les chantiers
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
neuneu,
Collègues / Travail
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... bonnes formes, réveillez-vous les mecs !— Oh là, Camille ! Oh là, on pige rien nous dans tes trucs, lui dit Mokhtar,— Pauv’types, vous serez toujours exploités à mort, et on vous gueulera toujours dessus, vous allez voir. Camille me tire par la main. En me regardant la suivre, Mokhtar et Vladimir échangent des regards inquiets. J’entends Mokhtar chuchoter sur un ton agacé : — Qu’est-ce qu’elle va lui faire, la nana ?— T’inquiète pas, elle ne va pas le tuer, répond Vladimir.— Oui, mais…— Mais quoi, putain, laisse-le se défoncer.— La patron sera furieux, s’il apprend ça.— On n’a pas à tout lui dire. Je monte les escaliers derrière Camille, les yeux rivés sur ses hanches gracieuses. Arrivé en haut, je ne peux m’empêcher de mettre une main sur son derrière moelleux. Papa avait fait ainsi avec Aïcha, les filles doivent bien apprécier. Camille se retourne vers moi, étonnée, elle me dit avec un petit sourire entre les lèvres : — Petit vilain, j’ai vu ta bosse, mais je ne pensais pas que tu mettes les mains aussi.— Zozou aime Charlotte, lui dis-je, en pensant au cul de Charlotte qui se cache derrière sa jupe serrée.— Quoi ? me répond-elle.— Zozou aime Charlotte.— Ah oui, et qu’est-ce qu’elle te fait Charlotte.— Zozou aime Charlotte.— Je pense avoir compris Zozou, calme toi Zozou, je vais voir ce que peux te faire.— Zozou aime charlotte. Je suis extrêmement excité. Des images du derrière de Charlotte, de Brigitte et d’Aïcha resurgissent en même temps et s’interpénètrent. Camille me ...
... fait entrer dans une petite chambre où il y a un grand lit et une armoire. J’entends la pluie ravageuse crépiter sur le toit et claquer sur la fenêtre derrière le rideau. Camille se débarrasse rapidement de ses petits habits et se met complètement nue puis, se penchant sur mon ventre, elle me dégrafe le pantalon qui tombe par terre. Mon engin apparaît, elle me parle : — Voila Zozou, laisse voir cette merveilleuse queue. Elle la prend dans une main et la branle doucement, puis la met dans la bouche, je me sens frémir. Ses petites lèvres me serrent bien le sexe et me donnent de très agréables sensations. Lorsqu’elle appuie les mains au bord du lit, elle me laisse voir la large scène de son derrière. Il y a le petit trou et la grande échancrure, avec deux grandes bananes qui surplombent un abricot. Sa vulve me rappelle Charlotte, mais en plus gros et plus frais. Elle est mousseuse et palpitante, bien charnue, elle accentue en moi les forces du désir. Sans perdre de temps, je précipite ma queue dans son con et je m’en vais à la pilonner sauvagement, du plus fort que je peux. Elle gémit et gronde, elle crie. Elle dit : — Oh Zozou, que c’est beau, Zozou, t’as la pine la plus acérée qui m’a jamais transpercée. Zozou, tu combles mes nécessités, tu me libères. Je vais et viens en elle, guidé par un instinct qui cherche à maximiser le délicieux plaisir qui m’envahit et m’enveloppe, et qui me couvre comme la fraîcheur du printemps. Au dernier moment, mon corps, hormis ma queue et les ...