Catherine, Annie, Paul et moi
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
amourcach,
... mettant ma main sur la sienne, il a peut-être… je marque un silence.— Quoi ? me dit-elle émoussée, peut-être quoi ?— Une maladie grave… un grand secret… je ne sais pas, dis-je en lui pressant la main chaude et humide.— Une maladie… grave… Oh mon Dieu, mon Amour… . Qu’est-ce que cela peut être ?— Je ne sais pas, une maladie qu’on ne veut pas avouer… (Elle sursaute en m’ouvrant ses yeux) mais je ne suis pas sûr, Cathy, il faut surtout rien lui dire. Je la serre dans mes bras et elle se laisse tomber sur ma poitrine, complétement mouillée par ses larmes. Je presse ses seins dans une main et je les malaxe avec douceur, elle n’a aucune réaction. Encouragé, je l’embrasse dans le cou, sur la joue et j’atteins le coin de ses lèvres, elle les entrouvre et me laisse les siroter et les lécher. Complètement flasque et abandonnée, je la raccompagne chez elle en taxi. Nous voilà tous les deux sur sa banquette-lit. Elle est sur le dos, la tête tournée vers le mur, les jambes tendues et légèrement écartées. Je chevauche le petit coussin de son ventre, comme si je tombais sur un édredon en plumes d’oies, mes jambes serrées entre les siennes et ma queue bien raide. Sa fente est cachée par une toison en boucles, couleur d’or, je m’y introduis doucement en lui pinçant le bout de seins. Elle fait un sourire douloureux, je m’enfouis la tête entre ses seins, je les enduis de salive et je donne des coups francs et secs, elle commence à gémir, je l’embrasse dans le cou et sur les lèvres. Me sentant ...
... frémir rapidement, je fais une pause, je me retire. Avec mes deux mains, je maintiens sa chatte ouverte, je rapproche ma tête et je la lèche goulûment en lapant comme un chien et en massant régulièrement le clitoris avec la langue jusqu’à ce que des spasmes agitent tout son corps. Lorsqu’elle se calme, j’enfile un préservatif et m’introduis en elle une seconde fois en malaxant ses seins à pleines mains et en l’embrassant de temps en temps sur ses lèvres qui restent fermées. Elle bouge, balance les hanches, m’enserre par ses jambes, gémit en me regardant vaguement jusqu’à ma délivrance qui coïncide pour elle avec un nouvel orgasme. Le matin en me réveillant, je la trouve assise à table, elle a déjà préparé le café. Son maquillage est défait, ses cheveux sont libres, tire-bouchonnés, elle s’est enveloppée dans un peignoir après une douche, je me sens ébloui par sa divine beauté. Elle me regarde d’un œil mauvais. — T’es un vrai salaud, toi, me dit-elle droit dans les yeux, avec un regard impétueux.— Je ne pense pas avoir mal agi ! lui dis-je, en me levant et en me mettant devant elle.— T’as profité de ma faiblesse !— J’étais faible aussi… et puis ta beauté ne me laisse pas indifférent. Elle baisse ses yeux dans une espèce de contrition, puis les relève mouillés, comme si elle allait fondre à nouveau en larmes. — Tout ce que tu m’as dit à propos de Paul, c’est vrai ?— Tu penses que je me rappelle de tout ce que je t’ai dit ? dis-je en pensant que tout ce qu’avais dit de Paul était ...