Grève
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
train,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
... être difficile.— Peut-être, peut-être pas. Il baisse la fermeture à glissière de ma veste, en écarte un pan et dévoile mon épaule qu’il embrasse, juste à la base de mon cou. Le pire est que je le laisse continuer, parce que j’aime ça. Je ferme les yeux, j’attends la suite, le souffle court. Il ouvre entièrement ma veste, pose ses mains sur mes hanches ; il me flanque la chair de poule ! Il remonte vers ma poitrine en me caressant et vient empaumer mes seins. Il est de notoriété publique que nombre d’hommes préfèrent les gros nénés ; malheureusement pour moi, je fais partie des défavorisées. Les miens sont mignons mais petits, ils n’attirent pas le regard. Je crains sa réaction, peut-être du dépit. J’ai peur des hommes, de leurs réactions, je souffre de timidité maladive, d’un manque de confiance en moi. Il ne dit rien, il ne cesse de m’embrasser, sa langue joue avec la mienne. Ses pouces caressent mes aréoles, font le tour de mes tétons qui se tendent, presque douloureux ; il vient de temps à autre les presser et je gémis de plaisir. Je gémis toujours alors qu’il fait tomber ma veste. Toujours collés l’un à l’autre, il me pousse vers la chambre ; je ne résiste pas beaucoup. Je perds en cours de route mon pantalon et ma petite culotte. Je sais, je ne devrais pas, mais j’ai besoin de tendresse et il semble en avoir à revendre. Il délaisse mes lèvres pour embrasser mes joues, mon cou. Il entame une longue, lente et délicieuse expédition. Il s’arrête sur mes petites framboises, ...
... les lèche, aspire, mordille, suçote tandis que ses mains caressent mon corps et pressent mes seins qui semblent quand même lui plaire. Je me laisse aller. Une semaine de galère m’a rendue réceptive à ce genre de délicates attentions. Comme je m’y attendais, il continue sa lente descente aux abysses. Il n’oublie rien. Mes flancs, mon nombril, mon ventre légèrement rebondi : rien n’échappe à ses lèvres. Arrivé sur mon petit buisson sombre, il marque un temps d’arrêt. Il appuie sur mon pubis, le masse, le presse, l’embrasse. C’est la première fois qu’un homme me fait ça ; je dois avouer que j’adore. Je griffe son dos, passe les doigts dans ses cheveux et couine sous ses caresses. Puis vient le grand instant. Il délaisse ma toison pour l’intérieur de mes cuisses qu’il écarte. Il dépose de doux baisers sur le pourtour de ma fente qui s’entrouvre, s’humidifie, se gonfle, s’échauffe. Je redoute sa réaction : cela fait une journée entière que je transpire, remue ; une journée sans douche. Bien sûr, je suis propre, mais quand même, il risque d’y avoir des relents de sueur, ou pire encore. Je me tends, craintive, quelques instants, avant qu’il ne pose ses lèvres sur les miennes, qu’il n’y glisse une langue avide. Je lâche prise et me laisse aller. Il fouille partout et dégotte mon pistil qui ne demandait qu’à l’être. Il le pince entre ses lèvres, sa langue me le caresse. Une main vient prendre mes roudoudous, presse mes tétons tandis que deux doigts délicats pénètrent mon intimité. Je ...