Héloïse, ou les chemins de traverse (2)
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
alliance,
amour,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fist,
double,
fdanus,
fsodo,
... Elle m’offrait des éclats de vie et moi, je larguais les amarres. Jamais, me semblait-il, je n’avais eu autant envie d’elle, jamais je n’avais autant attendu et espéré sa jouissance. C’est alors que François, toujours lui, s’est agenouillé derrière ma femme. Il lui a écarté les fesses, fixé la pointe de sa verge contre son anus. Héloïse s’est instinctivement figée dans son mouvement. Puis j’ai nettement perçu qu’elle se reculait vers lui, comme en signe d’offrande. Quand sa queue a glissé en elle, je l’ai sentie qui progressait lentement mais sûrement, comprimant mon membre dans son réceptacle. Héloïse avait les yeux et la bouche ouverts, elle bavait sans s’en préoccuper. Alors, comme d’un commun accord, François et moi nous sommes mis en mouvement, à tour de rôle : quand l’un s’enfonçait en elle, l’autre en ressortait presque. Le temps se faisait vertige, et le corps d’Héloïse était une carte du tendre où nous cherchions notre voie. — On change de place ? m’invita François. J’étais abasourdi : que mon frère considère ma femme comme une poupée avec laquelle on pouvait jouer à satiété, voilà qui me choquait et me fascinait à la fois. Mais elle : se pouvait-il qu’elle y consentît ? Elle y consentit, en effet. François avait décidément des rapports à la sexualité qui étaient à des années-lumière des miens ! Il n’empêche : quand il a délaissé les reins d’Héloïse et s’est allongé sur le lit pour qu’elle s’empale sur lui, j’ai implicitement – et physiquement ! – accepté de lui ...
... succéder. Lui succéder ! Cela impliquait qu’il avait été le premier à investir le cul de ma femme, qu’elle avait découvert avec lui le plaisir anal et que longtemps encore je le regretterais. Et pourtant, quand ma verge s’est engagée en elle, qu’elle a franchi l’anneau tout assoupli, j’ai eu un instant de vertige. Les fesses ouvertes d’Héloïse étaient des fruits dans lesquels on avait envie de mordre, son cul une révélation. Mon esprit était assailli de bouleversements érotiques – une prolifération étouffante d’images et de propos scabreux, de fulgurances qui transperçaient mes certitudes désormais bancales, d’où la raison disparaissait comme par enchantement ou par maléfice. J’ai joui le premier et ce fut pour moi comme si le ciel prenait toutes les couleurs du spectre solaire. Héloïse et François continuèrent sans moi leur chevauchée fantastique, noyés de sueur, de salive et de cyprine. François avait planté son index dans l’anus béant de ma belle, la fouillait encore, avant de la solliciter : — Viens avec moi, mon bébé. Viens en toi, pour moi. Héloïse avait sans hésitation enfoncé son doigt dans son anus, caressait celui de François. Les deux doigts se chevauchaient, s’entremêlaient, s’écartaient. Leur jeu érotique me parut durer une éternité, et puis ce fut l’explosion finale, la fusion de deux corps en folie, un chant d’amour sans pitié ni égard pour le vil spectateur-voyeur que j’étais. En moi avait éclaté un univers d’idées reçues, incapables de se cramponner davantage et ...