Héloïse, ou les chemins de traverse (2)
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
alliance,
amour,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fist,
double,
fdanus,
fsodo,
... doublé de surcroît d’un imbécile malheureux, qui portait sa petite vertu comme un ridicule cache-misère. Je croyais mon univers contrasté, mais néanmoins équilibré. Voilà que j’y faisais soudain d’hallucinantes découvertes et que j’allais devoir tenter de les assumer sans faille. — On va s’en sortir, mon amour, dis-je posément. On va s’en sortir, je te le jure. Je ne veux pas te perdre, j’ai trop besoin de toi. Je changerai. Je ferai tout, s’il le faut, pour que tu sois heureuse… et épanouie. On est rentrés à la maison en silence. François avait préparé un délicieux apéritif qui nous a mis tous trois d’apparente bonne humeur. Mon frère plaisantait joyeusement. Héloïse s’amusait de ses pitreries et moi-même, je relativisais l’importance des événements récents… Le dîner fut vite expédié : pizzas surgelées, sans goût ni consistance – mais le vin rouge, un Amarone pour lequel j’aurais sans hésitation – comme on change ! – accepté de me damner, était vraiment succulent : 16,5° de bonheur ! D’aucuns auraient jugé que c’était une faute de boire un tel nectar en accompagnement d’une pizza, surgelée de surcroît. On s’en foutait. On en a bu deux bouteilles – comme si on avait quelque chose à fêter ensemble, ou à nous faire pardonner. Et quand vint l’heure d’aller nous coucher, c’est moi qui ai suggéré : — Tu viens avec nous, François ? Héloïse me regardait, interdite, François souriait, sûr de lui : — Si ça vous fait plaisir…, ironisa-t-il. Mais où donc avais-je la tête ? Au carnaval ...
... de la lourdeur et de la bêtise, j’aurais décidément une place de choix ! Mais il était trop tard pour faire machine arrière. Comme la veille, on s’est retrouvés dans le même lit mais cette fois, c’est Héloïse qui a pris l’initiative : elle avait pris une verge dans chaque main et nous masturbait doucement. Elle n’eut aucun mal à nous faire bander. Je n’avais pourtant pas vraiment envie de participer à une fête des sens. Entre Héloïse et François, ce fut par contre une joyeuse sarabande de caresses, de gestes fous, de mots obscènes, de pénétrations acrobatiques, de salives échangées. Il y avait entre eux une exceptionnelle complicité : à l’évidence, ces deux-là s’étaient trouvés, apprivoisés. Pourraient-ils demain accepter d’être séparés ? — Tu fais la tête ? Héloïse avait bien remarqué mon air préoccupé. Elle s’installa à califourchon sur moi, m’introduisit dans son sexe chaud, me lécha les lèvres, le nez, les yeux : — Fais-moi l’amour, mon Antoine. Toi, tu ne me baises pas. Non, toi, tu m’aimes, tu m’aimes vraiment, et tu es bien le seul. Oui, j’étais bien. Le sexe d’Héloïse, c’était ma demeure, mon abri, mon refuge. J’avais l’impression que nous faisions un parcours initiatique dans une contrée étrange et pourtant familière. Héloïse était déchaînée. Elle allait et venait, m’enfonçait en elle. Son sexe en folie coulait sur mon ventre, tandis que de sa bouche entrouverte s’échappaient de longs filets de salive qu’elle déposait sur ma langue et que je buvais avec délectation. ...