La vie d'avant (1)
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
Erotique,
... de faire des choses... entre femmes. — Ça t’arrive souvent ce genre de fantasme Louisa ? — Non, mais j’ai bien lu dans ton œil cette étincelle d’envie et en y regardant de plus près, elle m’a aussi finalement donné faim. — Tu n’aurais pas envie de... — Elle va nous entendre non ? — Et alors ? C’est naturel de faire l’amour non, quand on est marié ? Elle sait ce que c’est sans doute, depuis bien longtemps. — Humm ! C’est vrai que ce serait bête de passer avec un jeu pareil... tu as de jolis atouts ce soir... — Alors, viens donc un peu par ici ! Sur mon trône, je n’en mène pas large. Les gémissements sont plus ciblés et les bruits ne laissent planer aucun doute sur les activités de ces deux amants. Je me suis relevée sans oser tirer la chasse d’eau. Le faire serait les alerter. Louisa murmure des mots que je n’entends pas. Il lui répond par des grognements tous aussi incompréhensibles. Le lit, je l’entraperçois par la fente de deux ou trois centimètres qui reste dans mon champ de vision. Elle est à genoux devant lui, étendue sur le pieu. Je ne vois d’elle que ses fesses nues et par extension cette raie qui meurt avec sa chatte. Elle semble lisse, totalement épilée. Je ne peux m’empêcher de regarder ce spectacle enivrant. Les mouvements qu’elle fait, me laissent à penser qu’elle le suce. Cette idée me rend folle... de désir. Lui de ses deux mains caresse sa chevelure. Il a les yeux fermés et c’est tant mieux sinon, je pense qu’il pourrait me repérer dans la salle d’eau. Julien ...
... remue aussi et il la force à se positionner différemment. Maintenant elle s’est allongée contre lui, tout en gardant sa tête au niveau de sonentrejambe. Mais cette fois, je la vois engloutir la trique enflée de son mari. Alors, c’est pire encore... mon ventre bout. Julien s’est aussi arrangé pour accéder au minou de la dame et ils sont là, à se relècher alors que je suis tétanisée par la scène qui s’affiche sous mes regards. Mon Dieu ! J’en ai mal partout, mes muscles se crispent à la seule pensée que j’ai envie de faire moi aussi, l’amour. Pour un peu j’irais les rejoindre tant c’est violent, ce qui me broie les tripes. Ça le devient plus encore quand elle se retourne et monte sur lui. Elle a le visage tourné vers la porte derrière laquelle je joue la voyeuse. Et hallucinée, je la chouffe alors qu’elle s’assoit sur cette épée de chair et se met à se dandiner de haut en bas. Le mari la tient par les hanches et sa voix se fait doucement entendre. — Doucement... s’il te plaît ! Laisse-moi un instant souffler. Tu es trop bonne mon amour. Attends ! Monte plus haut... oui... comme ça c’est bien... — Laisse-toi aller ! Je veux te sentir venir en moi... pense que c’est elle que tu baises ! Allez ! Donne ! Donne-moi tout ton foutre ! Donne, donnn... ! Elle crie pour de bon et je m’éclipse à reculons vers ma chambre. J’ai mal au ventre de cette envie contenue. Je tire doucement la porte et les draps me reçoivent, passagère d’une nuit solitaire, rongée par les scènes incroyables que je ...