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Telle paire... tel fils. (2)
Datte: 10/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... que votre cul est mouillé (je gardai le voussoiement par habitude). — Oui.. je n’étais pas seule depuis longtemps quand vous êtes arrivés ! — Ah ! On vous avait déjà chauffé le cul alors ! — Décidément, faut tout t’apprendre ! — Quoi ? Mon père intervint : — Ben oui, t’es con ou tes con ! Notre prédécesseur, il a joui dedans! — AH !!!!! — Ne te tracasse pas. Il est propre! — Je le connais ? — Casse-moi le cul au lieu de causer ! C’est vrai que c’était ce que j’avais de mieux à faire. Jamais ma prof ne m’avait fait plus juste recommandation. Je m’y employai donc consciencieusement en pilonnant le gros cul sans pitié, en appuyant fortement mes mains sur les reins. Mes coups de boutoir déformaient la paroi et ma queue comprimait celle de mon père de l’autre côté. Mes couilles touchaient les siennes. Nos deux gros chibres remplissaient la fille qui se pâmait et qui eut un nouvel orgasme. Ce déferlement de bonheur eut sur moi un effet indescriptible. La rondelle se comprima par spasme successifs et rapprochés qui agirent sur ma queue en en processus masturbatoire unique. Je ne pus me retenir et mon sperme se mélangea à celui de mon devancier. Après avoir un peu récupéré je me retirai de cette montagne de plaisir et ...
... m’écroulai sur le lit bien décidé à contempler le reste. La fille se détacha de mon père pour le sucer. Il se laissa faire, corps tendu, yeux fermés, proche à son tour de l’orgasme. Quand il sentit qu’il n’en aurait plus pour très longtemps, mon père se mit debout au-dessus de la meuf et, s’empoignant le zboub, il lui promit un déluge de sperme sur les nichons. A ce moment, on sonna à la porte. Il était bien temps d’aller répondre! Mon père suspendit brièvement puis reprit son mouvement. On sonna à nouveau. Nous ne répondîmes toujours pas bien convaincus que l’importun allait se lasser et que nous pourrions finir aussi bien que nous avions commencé. J’avais juste oublié que je n’avais pas fermé la porte d’entrée à clef ! Enfin, mon père jouit en râlant des "rhooo....rhooo.... rhooo". De lourdes giclées de sperme fusèrent sur le visage et les seins de la femme offerte. Au même instant, alors que le foutre pleuvait encore abondamment, la porte de la chambre s’ouvrit en même temps qu’une voix disait : — Excuse-moi, je crois que j’ai oublié.... Il s’arrêta médusé, en voyant mon père bite tendue et crachant, la femme soutenant ses seins pour recevoir le jus et moi en train de mater, avant d’ajouter : ....mon portable. A suivre...