Les cornes (1)
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
Divers,
... serré. Bien que je ne prête guère d’importance à ce genre de détail, notre voisin avait un goût esthétique très sûr, vu comme sa haie et notre rosier avaient été parfaitement taillés. Le mardi, ma femme se plaignit encore. De ce qu’elle me dit, il n’avait pas arrêté de la draguer. Je sus la convaincre qu’il s’agissait de la part de notre voisin uniquement de politesse, et qu’il serait bon qu’elle y mette un peu de bonne volonté. Le mercredi, je commençai à être exaspéré : elle prétendait qu’il avait essayé de dégrafer à plusieurs reprises son soutien-gorge. Cette fois, je me suis fâché ; je n’en pouvais plus de l’entendre geindre ainsi. Il fallait qu’elle fasse preuve d’une réelle hospitalité à l’égard de cet homme qui avait le cœur sur la main. Elle partit bouder. Je me félicitai d’avoir dû élever la voix : cela avait été très bénéfique car elle ne me narra plus aucune méchanceté sur notre voisin le jeudi et le vendredi soir. De plus, je vis dès le samedi qu’entre eux deux il n’y avait plus aucune animosité. Ma femme avait fait des efforts payants : sous son pantalon trop serré, aucune marque de culotte ne transparaissait ; ainsi, il ne put le lui faire remarquer. Elle avait parfaitement compris la gentillesse de notre voisin et ne s’offusquait plus des mots doux qu’il lui adressait. Également taquine – et juste pour embêter le vieil homme – elle laissa son soutien-gorge dans son armoire. L’homme ne pouvait plus jouer à essayer de le dégrafer ; cela devait fortement le ...
... frustrer. J’étais très fier de ma femme. Le temps passant, ma femme se bonifiait vraiment. Elle avait toujours été très jolie ; cependant, elle ne savait pas se mettre en valeur. Notre voisin avait un véritable don : il savait parfaitement conseiller ma femme sur les tenues qui lui convenaient le mieux, et il n’était pas moins doué pour suggérer de nouvelles coiffures ou tenter une nouvelle façon de se maquiller. Pour ma part, je la préférais au naturel ; je me suis bien gardé de le dire afin d’éviter de créer une mauvaise ambiance, mais je la trouvais souvent trop peinturlurée, au point de lui trouver un air vulgaire. De toute façon, cela restait entre nous, et lorsque le vieil homme repartait elle redevenait celle que je connaissais. Mon voisin avait coupé sa haie encore plus bas qu’auparavant : elle arrivait à peine à hauteur des genoux. Ma femme était ravie, se sentant effectivement bien plus en sécurité, se sachant surveillée. L’homme avait même pensé à y créer un passage, un accès rapide pour intervenir au cas où le besoin se ferait sentir ; je l’enviai d’avoir d’aussi bonnes idées. Je ne voyais pas souvent ma femme nue, faisant notre petite affaire mensuelle totalement dans le noir. J’avais cependant perçu une petite différence par rapport aux fois précédentes, ne m’en inquiétant pas plus que cela à ce moment-là. Mais quelques jours plus tard, je la vis par hasard dans le plus simple appareil ; je remarquai que ses poils pubiens avaient disparu. Je lui en fis part, étonné ...