Convalescence
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... ensemble. J’avais besoin de tendresse. Céline était là. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, ses baisers sur mes lèvres. Elle était agenouillée face à moi. Ma main a filé sous sa jupe. Elle ne s’est pas dérobée. Au contraire, elle a ouvert ses jambes : — Je savais que j’allais te faire du mal. Alors, en compensation, j’ai mis une jupe, pour que tu puisses me toucher. Ma main a écarté son slip, mon doigt s’est posé sous son clitoris, l’a caressé, est descendu plus bas, dans sa fente humide. Elle a tressailli : — Non, il ne faut pas, pas ici, on peut nous voir. Et c’est fini entre nous. C’était juste une nuit, tu le sais. Si on continue, on ne pourra rien reconstruire. Mon doigt ne la lâchait pas. Céline s’accrochait à mon cou en tanguant sous ma caresse. Je bandais. Mon sexe avait recommencé à penser avant moi. Et le désir transformait ma colère en force. Dans cette histoire, tout le monde m’avait trompé, manipulé. Claire, Pierre, et même Céline qui avait décidé de faire l’amour avec moi sans m’en dire les raisons. En plus, elle voulait fixer les limites, me disait ce que je devais faire envers Claire. Ça suffisait !… — Ecoute moi bien, Céline. Peut-être que j’aurais préféré continuer à ignorer ce qui s’est passé entre Claire et Pierre, et même ce qui se passe encore. Tu ne t’es même pas posé la question. Tu ne m’as pas laissé la moindre chance de continuer à être heureux. Tu n’as pensé qu’à toi. Mais j’existe, tu sais. J’avais raffermi la pression de mon doigt ...
... sur son clitoris, l’enfonçais plus loin entre ses lèvres. Son sexe ondulait doucement sur ma main. Ses yeux était fermés. Elle ne disait plus rien, ressemblant à une enfant prise en faute. — Maintenant, c’est moi qui vais te dire ce qu’on va faire. Je rentre samedi à Paris. Il nous reste deux jours. Ces deux journées, j’ignore ce que Claire et Pierre vont en faire. Mais je sais comment nous allons les passer. Cet après-midi, je suis censé jouer au golf avec le mari de Noémie et d’autres amis de la bande. Je vais annuler, demain aussi. Toi, tu trouveras un prétexte pour t’absenter l’après-midi. Noémie gardera nos enfants. Elle en a l’habitude. Et tu viendras chez moi. D’accord ? Son visage était maintenant tourné vers le sol. Sa respiration était courte. Pour la première fois, j’avais l’impression de la tenir. Sa réponse a mis du temps à venir : — Lâche-moi, et j’accepte. Je l’ai lâchée. Elle a accepté. ----- Lorsqu’elle a frappé à ma porte cet après-midi, Céline m’avait réservé une jolie surprise : elle s’était maquillée, avait mis une jupe courte, des talons, et déboutonné le haut de son chemisier. Elle était belle. Je le lui ai dit : — Merci. Tu sais, mon amant ne m’a donné que deux jours. Alors, j’ai décidé de mettre toutes les chances de mon côté. Son sourire sonnait un peu faux. Je l’avais toujours connue gaie, décontractée, même pendant l’amour, même lors de notre discussion du matin. Là, je découvrais une autre femme, plus grave : — J’ai réfléchi à ce que tu m’as dit. ...