1. Convalescence


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... Tu as raison. Je n’ai pensé qu’à moi, je me suis servi de toi. Hier soir, j’ai voulu faire en une heure tout ce qu’une femme peut faire avec un homme. J’en avais besoin. Il fallait que je me prouve des choses, tu comprends ? Je voulais que ça aille vite. Tu as dû me prendre pour une folle. Et je me suis échappée, après t’avoir fait cette pipe dont tu n’avais pas envie. Excuse-moi. Maintenant, je voudrais qu’on fasse l’amour, vraiment. Je l’ai prise par la main, l’ai guidée jusqu’au divan du salon et l’ai couchée sur le dos, en travers de mes genoux. J’ai passé mon bras sous les siens, derrière son dos. Ainsi, elle était immobilisée, torse cambré, et ne pouvait pas me toucher. Alors, moi aussi je me suis vengé. De Claire, qui aimait lire assise sur ce divan, de Pierre, de Céline qui voulait décider de tout. Ma main libre a défait son chemisier, sorti ses seins du soutien-gorge. Ma bouche est descendue vers eux. Je les ai léchés, mordus, étirés, jusqu’à ce que leur pointe soit bien au garde-à-vous. J’ai relevé sa jupe, soulevé son slip, massé son clitoris en faisant coulisser mon index le long de sa fente. Je lui ai demandé d’ouvrir les yeux, de me regarder. Je voulais voir la progression de son plaisir. Quand je l’ai sentie proche de l’orgasme, je me suis arrêté de la caresser, ai retiré le bras qui la retenait, et lui ai dit de se déshabiller. Elle l’a fait, sans un mot, en se contorsionnant sur moi, avant de reprendre sa position initiale. Ça ne me suffisait pas : — Je te ...
    ... veux nue, complètement nue, plus encore qu’avec ton mari. Enlève tous tes bijoux, même ton alliance. Elle s’est exécutée. Comment décrire le plaisir trouble que je ressentais ? La fière Céline était devenue docile, m’obéissait, m’appartenait. J’ai repassé mon bras sous les siens. J’étais habillé. Et elle, nue en travers de mes jambes, torse cambré, sexe ouvert. Son clitoris était toujours durci par le désir. J’ai repris là où je l’avais laissée une minute plus tôt. J’ai aimé ce rôle de voyeur-acteur : je l’ai regardée jouir, corps tendu, tête en arrière, bras tenus ; je l’ai même écoutée jouir puisque que rien, ni main ni coussin contre sa bouche, ne pouvait réprimer la manifestation de son plaisir. Je l’ai embrassée. Elle a répondu avidement à cette preuve de tendresse. Mais je n’en avais pas assez, pas tout à fait : — Maintenant, je veux que tu me dises que tu as envie de faire l’amour avec moi, pas pour te venger, parce que tu en as vraiment envie, et en prononçant mon prénom. Elle a jeté les mots que j’attendais d’elle, et même plus encore, par brèves saccades, au gré de sa respiration haletante : — Oui, j’ai envie de toi, Christophe. Je veux que tu me fasses l’amour. Je veux ton sexe en moi. Je veux tu me prennes, que tu ailles loin. Regarde mon sexe, il est ouvert, il t’attend. J’ai relâché la pression de mon bras. Céline s’est aussitôt relevée, m’a tendu la main, et m’a mené vers la chambre. Elle ne souriait plus. Son visage n’exprimait plus rien d’autre que le désir. ...
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