Liaison dangereuse à Venise
Datte: 26/09/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
extracon,
plage,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
... écarte, tends pour l’introduire entre ses lèvres intimes. Puis elle m’aide quand je la lui retire en dégrafant les jarretières et en relevant les jambes. Sa toison courte est épilée sur les côtés, mais complètement rasée sur ses grandes lèvres d’où dépassent les petites que j’écarte avec mes doigts pour en faire un petit papillon. Ce spectacle est d’une insoutenable lubricité ; ma bouche se colle à son sexe avec un baiser coquin en goûtant sa liqueur. Grâce à ses jambes relevées, l’étoile brune de son anus s’offre à moi. J’y introduis un doigt après l’avoir léché, mais je la sens qui se rétracte. — Non. Ça, je n’aime pas ! Viens vite baise-moi ! Mes lèvres quittent sa vulve et retrouvent sa bouche ; je la remonte sur le lit, et tandis que je la pénètre, ses cuisses gainées de nylon se referment sur mon dos. Quelques minutes plus tard, je lui demande de se retourner et je la prends par derrière ; cette fois, notre orgasme est presque simultané et nous nous écroulons l’un sur l’autre, encore haletants. Je lui dis dans l’oreille : — Merci pour ton cadeau ! Quelque temps plus tard nous plongeons dans les bras de Morphée. Quand je me réveille, je regarde ma montre : quatre heures. Il fait encore nuit, mais de la lumière artificielle dehors transforme l’obscurité en pénombre dans la chambre. Je l’entends respirer ; elle est nue, allongée sur le ventre. Je tire doucement sur le drap pour regarder son corps et j’observe la rondeur de ses fesses bombées. Tout à coup, je sursaute en ...
... l’entendant me dire : — Tu arrêtes de mater mes fesses ? Je ne t’ai pas donné la permission !— Tu ne dors pas ?— J’ai encore envie de faire l’amour ! me dit-elle en se retournant. ************************* Aujourd’hui, je bulle dans mon bureau ; je n’arrive pas à me concentrer sur mon projet, et malgré une navigation erratique sur internet, mon esprit divague toujours vers Sandra. Voilà maintenant deux mois que nous entretenons notre liaison avec de furtifs rendez-vous chez son amie, et même encore une fois à l’hôtel quand nous nous sommes libérés de nos conjoints. Cela est devenu comme une routine et je me sens attiré comme un aimant vers Sandra et sa sensualité ; c’est une drogue. Je me mets aussi à devenir plus amer avec Catherine : je supporte de plus en plus mal ses petits défauts ; qui n’en a pas ? Plus d’une fois je lui réponds mal, car dans le fond je me sens coupable. Quitter Catherine pour vivre avec Sandra est une idée qui commence à faire son chemin ; dormir avec elle, toucher son corps tous les jours… À ce moment précis, c’est ce que je souhaiterais le plus ; mais est-ce possible ? Mais non, ce n’est pas possible : elle est mariée.« Enlève-toi ça de la tête ! » En fin de matinée, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche. Je regarde : c’est Catherine. — Tu rentres manger à midi ? Je ne veux pas rester toute seule. Tu peux ?— J’arrive. De toute façon, je n’arrive pas a travailler aujourd’hui. Sans prendre levaporetto, j’en ai pour 30 minutes en marchant d’un bon ...