Liaison dangereuse à Venise
Datte: 26/09/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
extracon,
plage,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
... pas : ça va me faire du bien ; l’été est passé et il fait bon dehors. J’arrive à l’appartement essoufflé et je retrouve Catherine qui m’attend, assise dans la cuisine. Le repas n’est pas préparé. Je vois tout de suite qu’elle a pleur ; en fait, non : elle pleure encore ! Je me précipite vers elle, mais elle m’arrête tout de suite. — Ne t’approche pas de moi !— Qu’est ce qu’il y a ?— Regarde ça ! Elle me jette à la figure une enveloppe cartonnée. J’ai déjà compris, et avant de l’ouvrir je devine ce qu’il y a dedans. Les photos sont très belles, en noir et blanc comme dans les films : Sandra et moi faisons l’amour à l’hôtel, elle en lingerie et moi nu comme un ver. Je ne sais pas quoi faire ; je reste planté là, immobile. Mes yeux vont de Catherine aux photos. Tout à coup, elle se lève et me met une baffe monumentale ! — Espèce de salaud ! Je ne veux rien entendre. Je me casse ; je rentre à Paris. Tu la baisais, et quelques heures plus tard tu t’introduisais en moi… c’est dégueulasse ! Qu’est-ce que tu croyais, garder une femme et une amante ? Tenir une liaison secrète avec la femme du préfet… De toute façon, on n’est pas marié. Pas un mot n’est sorti de ma bouche. Je sors de l’appartement et, ne sachant où aller, je marche à nouveau vers mon bureau. Il faut que je téléphone à Sandra pour l’avertir. Je prends mon portable, mais avant de faire le numéro mémorisé sous un faux nom, il sonne : c’est elle ! — Sandra, Sandra, ton mari sait tout : il nous a fait suivre !— Je sais ! ...
... C’est pour ça que je t’appelle ; on ne peut plus se voir, il faut qu’on arrête.— Mais, Sandra, ce n’est pas grave : tu le quittes et tu viens vivre avec moi. Je t’aime, je pense à toi tout le temps… Viens me rejoindre !— Non mais, mon petit vieux, tu ne comprends pas ? C’est fini. Je ne vais pas quitter Mario pour toi, tu rêves ! Tu sais bien qui c’est, Mario : je ne vais pas tout perdre, je ne veux pas renoncer à ma vie, même pour toi ; tu ne pourras jamais m’offrir cette vie. Va retrouver Catherine ; on s’est bien amusé, c’était super, mais je suis vraiment désolée : c’est fini !Ciao. Anéanti, je rejoins mon bureau où je finis mon après-midi de travail dans un brouillard complet ; je ne réalise pas. Puis je récupère petit à petit et élabore des arguments pour convaincre Catherine de me pardonner ce soir. Mais quand je retourne à l’appartement, il est vide : elle est partie sans même me laisser un mot. Je pense un moment aller à la gare ou à l’aéroport pour la retrouver avant qu’elle ne parte ; mais non, c’est trop tard ! Le jour d’après, j’arrive au bureau presque sans avoir dormi. La secrétaire me dit que Stefano m’attend dans son bureau. Là aussi, j’ai déjà compris : je suis viré ! Je m’en doutais ; le préfet fait partie de son cercle d’amis, et la pression est trop forte. En plus, Donatella, sa femme, ne veut plus me voir, complètement solidaire de Catherine. D’un geste, je l’arrête. — Stefano, tu n’as pas à te justifier ; je ne veux pas en entendre plus. Je pars tout de ...